Attaque meurtrière à Ségbana : Daniel Edah appelle à des actions urgentes au profit de la sécurité

Le Bénin a été une nouvelle fois endeuillé par une attaque meurtrière survenue à Ségbana, dans le Nord du pays, visant le commissariat de police et ayant coûté la vie à trois agents des forces de l’ordre. Face à ce drame, le leader politique Daniel Edah, membre du parti Les Démocrates, a réagi avec émotion et détermination à travers un communiqué rendu public. Dans son message, il qualifie cet acte de « drame national » et exprime ses condoléances attristées aux familles des victimes, tout en adressant un message de solidarité et de reconnaissance à l’ensemble des forces de défense et de sécurité. « J’adresse mes condoléances aux familles endeuillées et ma solidarité à nos forces de sécurité », a-t-il déclaré. Pour Daniel Edah, cette attaque doit interpeller la conscience collective et rappeler l’urgence d’un renforcement de la sécurité nationale, en particulier dans les zones frontalières exposées aux menaces terroristes. Dans la droite ligne de son projet de société « NOUS LE FERONS 2026 », il a réaffirmé son engagement à faire de la sécurité et de la paix des piliers de son action politique. Il propose notamment l’augmentation du budget de la défense pour renforcer la formation, l’équipement et la motivation de nos troupes ; la sécurisation durable des frontières ; la création d’un programme d’emploi et de paix dans les zones sensibles et le renforcement de la coopération régionale pour la paix et la prospérité. Pour Daniel Edah, membre du parti Les Démocrates et candidat à l’élection présidentielle de 2026, la sécurité est la base de sa vision d’un Bénin économiquement prospère et socialement stable dans une Afrique bien intégrée et en plein essor. Ce message, à la fois empreint de compassion et de fermeté, sonne comme un appel à une mobilisation nationale face aux défis sécuritaires croissants auxquels le Bénin est confronté.

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Lendemain de son investiture à Parakou:  Maintenant, le plus dur commence pour Wadagni

Au lendemain de son investiture en grande pompe à Parakou, Romuald Wadagni désormais candidat de la mouvance pour la présidentielle de 2026 entre dans une phase autrement plus décisive et plus périlleuse que celle des cérémonies et des déclarations d’intention. En effet, le Samedi dernier, la cité des kobourou a vibré au rythme d’un événement voulu comme une démonstration de force et d’unité. Un événement qui a hissé le Ministre d’État chargé de l’Économie et des Finances au rang de candidat du système Talon adoubé par une coalition de partis et de personnalités acquises à la cause de la continuité. Si Parakou a offert ce moment de cohésion pour la mouvance, il y en a qui rappellent avec insistance que le plus dur commence maintenant car, la bataille électorale, affirment-ils, se jouera dans les urnes. Et sur ce terrain, Romuald Wadagni devra aller au contact des militants et sympathisants pour expliquer, rassurer et convaincre qu’il n’est pas seulement le candidat du pouvoir mais celui d’un peuple qui aspire à être écouté. Il devra également prouver que son nom et son étiquette de technocrate peuvent susciter une adhésion sincère au-delà des alliances de partis et des soutiens institutionnels. Déjà, selon des indiscrétions, le parti Les Démocrates pourrait réserver une vraie surprise en présentant un duo inattendu capable de rééquilibrer la scène politique et de faire douter le camp adverse. Et cette hypothèse de plus en plus évoquée çà et là nourrit la crainte d’un face-à-face plus serré que prévu entre le pouvoir et son principal opposant. Car, si la mouvance peut mobiliser des foules, le peuple quant à lui reste libre de son vote. D’ailleurs, beaucoup avancent avec certitude que le cœur d’une partie des électeurs bat du côté du parti Les Démocrates toujours en attente de dévoiler son duo présidentiel. A ce sujet, il est attendu de voir quel binôme sortira des rangs du parti de Boni Yayi qui incarne aux yeux de certains, une alternative possible au modèle Talon. Dans les conversations émerge le sentiment d’une compétition qui s’annonce rude. Et si son profil de technocrate rigoureux plaît à certains mais laisse d’autres indifférents, Wadagni devra selon ce qui est avancé, apprendre à parler au peuple, pas seulement à l’administration ou aux institutions et prouver ensuite qu’il peut incarner un projet collectif. Toutefois, ce qui est certain, l’élection présidentielle de 2026 ne se jouera surement pas dans les salons politiques mais dans les urnes. Et là, seul le peuple décidera.

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Désignation du duo de LD pour 2026 : L’essentiel : bien y aller et non vite y aller

Face à un pouvoir comme celui de la rupture prêt à sauter sur des insuffisances pour exclure des élections, prendre son temps pour bien faire les choses, reste la stratégie pour assurer sa participation aux scrutins. Lorsqu’il s’agit de la présidentielle ; une élection qui captive au regard de l’enjeu, le plus les attentions, il y a lieu surtout pour l’opposition de faire preuve de prudence pour se soustraire d’éventuels pièges pour sa disqualification. Ces rappels pour louer la posture du parti Les Démocrates dans le processus de désignation de son duo à la présidentielle de 2026. Faut-il le rappeler, pour affirmer son attachement à la transparence, la formation politique est allée d’un appel à candidatures pour sélectionner les profils au poste de Président et Vice-président de la République. Le travail confié à un comité est conduit de sorte à mettre à l’aise les uns et les autres que tout se passera bien pour faire prévaloir les mérites. Dans une totale neutralité, le Président du parti LD l’ancien Chef de l’Etat Boni Yayi, a multiplié les audiences à son domicile pour écouter les prétendants sur leurs visions. Un conseil national est annoncé pour le 11 Octobre pour dévoiler publiquement le duo qui sera constitué. Et de cette façon, le parti d’opposition Les Démocrates prépare la présidentielle avec l’assurance de participer au scrutin pour gagner. Une manière de faire approuvée par plus d’un qui saluent la forme d’organisation au parti Les Démocrates qui prend le temps nécessaire pour bien faire. A préciser qu’attendu par ses militants et autres avertis de la scène politique béninoise, qui brûlent d’impatience de connaître le nom de son duo candidat pour la présidentielle, le parti « Les Démocrates », a brisé enfin le silence. Selon une publication du Secrétaire National à la Communication, Dr Guy Mitokpè ce Jeudi, 2 Octobre 2025 sur sa page Facebook, le parti tiendra un « Conseil National de désignation du duo de candidats ». Dans la même veine, il a laissé entendre que la date retenue pour ledit « Conseil National », est fixée au Samedi 11 Octobre 2025. Des noms sont cités dont entre autres ceux des députés Eric Houndété, Kamar Ouassagari, Nourénou Atchadé ; le juriste Nourou-Dine Saka Saley ; Daniel Edah fonctionnaire international etc. La mouvance connaît d’ores et déjà son duo, le ministre d’Etat Romuald Wadagni et sa colistière Mariam Chabi Talata. Il y a quelques jours, l’autre parti de l’opposition, Force Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE), a choisi son Secrétaire Exécutif National (SEN), Paul Hounkpè dont le colistier reste à dévoiler. Au Bénin, le premier tour de l’élection présidentielle est fixé au 12 Avril 2026 et la date de clôture du dépôt des dossiers de candidature est pour le 14 Octobre 2025. Plus de sept (07) millions de Béninois seront conviés dans les urnes, ce 12 Avril 2026 pour élire le successeur de Patrice Talon qui est à la fin de son second et dernier mandat constitutionnel. Dans la dynamique de l’alternance au sommet de l’Etat, Les Démocrates préparent avec méthodes la compétition pour se donner les chances de triompher.

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Nomination de Lionel Zinsou : L’aspect politique de l’acte n’est pas totalement à écarter

La récente nomination de Lionel Zinsou à la tête de Sèmè City, la Cité internationale de l’innovation et du savoir du Bénin, continue de faire couler beaucoup d’encre et de salive. Si certains y voient une volonté d’unir les compétences au-delà des clivages politiques, d’autres estiment qu’il s’agit d’un acte purement stratégique. Pour plusieurs observateurs, le Président Patrice Talon aurait nommé un ancien opposant, son principal adversaire à la présidentielle de 2016, à un poste clé. Pourtant, à y regarder de plus près, la dimension politique de cette nomination n’est pas totalement à écarter, même si les compétences techniques de Lionel Zinsou ne font l’objet d’aucune contestation. En effet, dans une interview accordée à Jeune Afrique en Mars 2025, le Président Patrice Talon se montre élogieux envers l’ancien Premier ministre allant jusqu’à affirmer qu’ils entretiennent d’excellentes relations et qu’il est aujourd’hui un acteur impliqué à ses côtés. Ces propos confirment ce que plusieurs sources confient depuis quelque temps en indiquant que Lionel Zinsou aurait changé de posture politique. Selon des confidences recueillies dans les cercles proches du pouvoir, l’ancien Premier ministre aurait changé de veste et rejoint discrètement le camp présidentiel, se plaçant ainsi dans une posture de collaboration active avec le régime en place. Ancien banquier d’affaires et intellectuel respecté, Lionel Zinsou a indéniablement le profil pour diriger une telle institution. Mais son rapprochement avec le Chef de l’État et les éloges publiques que ce dernier lui adresse laissent entrevoir un signal politique fort. Ceux qui pensent donc que Patrice Talon a nommé un opposant se trompent partiellement. Lionel Zinsou n’est manifestement plus dans l’opposition et son positionnement actuel semble en parfaite harmonie avec les orientations du régime de la rupture. En clair, la nomination de Lionel Zinsou est à la fois une reconnaissance de ses compétences et un geste politique stratégique. Elle montre que le Chef de l’État sait intégrer des figures anciennes de l’opposition dans son dispositif, surtout lorsqu’elles se rapprochent de sa vision.

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Absence remarquée de Houngbédji à l’investiture à Parakou* :Une posture dans la logique de sa récente déclaration

L’absence du Président de l’ex Parti du Renouveau Démocratique (PRD), Me Adrien Houngbédji, a été l’un des faits les plus observés lors de la cérémonie d’investiture du duo Romuald Wadagni-Mariam Chabi Talata, tenue à Parakou. Alors que la quasi-totalité des leaders de la mouvance présidentielle avaient répondu présents, le patriarche Adrien Houngbédji n’a pas effectué le déplacement de la cité des koburu. Une absence palpable, tant son engagement politique et son expérience auraient donné plus de poids symbolique à cette cérémonie. De nombreux observateurs s’attendaient à le voir, aux côtés des autres Présidents de partis membres de l’Union Progressiste le Renouveau (UP-R), saluer le choix du duo candidat et réaffirmer la cohésion de la majorité présidentielle. Mais visiblement, Me Houngbédji a préféré garder ses distances, suivant sans doute la cérémonie de loin. Cette posture s’inscrit dans la droite ligne de sa récente déclaration faite depuis l’étranger, où il séjourne actuellement. L’ancien Président de l’Assemblée nationale avait en effet déclaré n’avoir effectué aucun choix pour 2026 comme tentaient de le faire croire certaines presses, laissant ainsi planer le doute sur la position officielle du PRD face à l’échéance présidentielle à venir. Il y a lieu de préciser que l’absence du leader charismatique a été interprétée comme un signal politique fort, celui d’un homme d’État qui a choisi de marquer sa différence et de préserver son indépendance politique. Dans un contexte où l’Union Progressiste le Renouveau s’affiche en fer de lance de la campagne autour du duo Wadagni-Talata, l’attitude d’Adrien Houngbédji interroge. Est-ce un simple retrait tactique, dicté par la prudence et l’expérience politique ou un positionnement réfléchi, annonciateur d’une posture plus neutre, voire critique, vis-à-vis du processus politique en cours ? Une chose est sûre l’absence du patriarche n’est pas passée inaperçue. Elle confirme, s’il en était encore besoin, que Me Adrien Houngbédji demeure une figure singulière dans le paysage politique béninois, capable de susciter autant d’attentes que d’interprétations, même en silence.

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Investiture du duo Wadagni -Talata à Parakou : Claudine Prudencio et RN pour la mobilisation jusqu’à la victoire

Le Stade omnisports de Parakou a vibré ce Samedi 04 Octobre 2025 lors de la cérémonie officielle d’investiture du duo Romuald Wadagni-Mariam Chabi Talata, candidats de la mouvance à l’élection présidentielle de 2026. Devant une marée humaine venue des quatre coins du pays, Claudine Prudencio, Présidente du Parti Renaissance Nationale (RN), a été la première des Présidents de partis politiques de la mouvance à prendre la parole. Dans un discours empreint de fierté et de conviction, elle a salué la pertinence du choix porté sur le duo Wadagni-Talata ; un tandem selon elle à la fois complémentaire, expérimenté et porteur d’avenir pour le Bénin. Elle a rappelé que Romuald Wadagni, ministre d’État et artisan de nombreuses réformes économiques, incarne la rigueur, la compétence et la vision d’un Bénin économiquement fort, tandis que Mariam Chabi Talata, première femme Vice-présidente du pays, symbolise la constance, la loyauté et l’ouverture politique. Mais c’est surtout l’engagement ferme pris par le Parti Renaissance Nationale qui a retenu l’attention des milliers de militants et sympathisants présents. Claudine Prudencio a promis, au nom du RN, une mobilisation totale jusqu’à la victoire du duo candidat. « Notre parti sera au premier rang de la mobilisation. Dans chaque village, dans chaque commune, dans chaque département, nous porterons le message du duo Wadagni et de sa colistière. Ce choix n’est pas celui d’un parti ni d’une région, mais celui d’un peuple tout entier, d’une Nation qui choisit la stabilité, la prospérité et la grandeur », a-t-elle déclaré sous les acclamations de la foule. Le ton est ainsi donné ; le Parti Renaissance Nationale s’annonce comme un pilier de la campagne incontournable et un acteur clé de la dynamique de victoire du duo Wadagni-Talata à la présidentielle de 2026. La Présidente du RN a conclu son intervention par un appel vibrant à l’unité et à la fidélité au projet de la majorité présidentielle. « Aujourd’hui, à Parakou, nous scellons un pacte de responsabilité envers nos enfants et de confiance envers le peuple. Ce pacte, c’est celui d’un Bénin modèle, uni et prospère », a conclu Claudine Prudencio en lançant ainsi les hostilités pour la victoire du duo de la mouvance.

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Investiture du duo de la mouvance à Parakou : L’appel de Yanique Djima pour une forte mobilisation autour de Wadagni-Talata

Au rang des nombreuses personnalités présentes à Parakou pour l’investiture du duo Romuald Wadagni – Mariam Chabi Talata, candidats de la mouvance présidentielle à la présidentielle de 2026, figurait Yanique Ulrich Djima, président du mouvement « Jeunes, c’est notre tour ». Aux côtés des milliers de militants et sympathisants venus de tout le pays, le jeune leader a tenu à vivre en direct les moments forts de cette cérémonie historique, symbole d’un nouveau départ pour la majorité présidentielle. Depuis la cité des Koburu, il a suivi avec attention le discours du candidat investi avant de lancer un appel vibrant à la jeunesse béninoise : celui de la mobilisation totale jusqu’à la victoire du duo présidentiel. Pour Yanique Ulrich Djima, l’heure n’est plus à l’hésitation. Elle est à l’action et à la responsabilité. « L’heure a plus que sonné. Les jeunes doivent saisir cette occasion unique pour hisser au pouvoir l’un des leurs, en la personne de Romuald Wadagni, un homme de compétence et d’expérience, qui connaît parfaitement les rouages de la gouvernance du pays aux côtés de l’architecte du renouveau, le président Patrice Talon, depuis bientôt dix ans », a-t-il déclaré. Son intervention à Parakou s’inscrit dans la continuité d’une dynamique déjà amorcée sur le terrain. En effet, quelques jours plus tôt, son mouvement avait organisé à Godomey une marche de soutien en faveur de Romuald Wadagni. Une mobilisation impressionnante qui a réuni de nombreux jeunes, tous engagés à accompagner celui qu’ils considèrent comme l’héritier légitime de la vision du président Patrice Talon. Casquettes, banderoles et pancartes à l’effigie du candidat ministre de l’Économie et des Finances, les manifestants avaient alors scandé des slogans enthousiastes, marquant ainsi leur adhésion pleine et entière au projet porté par le duo Wadagni–Talata. En se montrant présent à Parakou et en réaffirmant son engagement, Yanique Ulrich Djima confirme le positionnement du mouvement “Jeunes, c’est notre tour” comme l’un des fers de lance de la mobilisation de la jeunesse autour du duo présidentiel. Une dynamique qui, selon plusieurs observateurs, pourrait peser lourd dans la bataille électorale de 2026.

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Paul Hounkpè, candidat de la FCBE pour la présidentielle de 2026 : Un choix pragmatique ; une option pour provoquer l’alternance

Au Bénin, la FCBE qui a fait la promesse de participer aux élections générales de 2026 notamment la présidentielle, tient déjà ses engagements avec la désignation de son candidat pour la course à la succession de Patrice Talon. Et c’est sur le Secrétaire Exécutif National du parti que le dévolu est jeté pour défendre les couleurs de la formation politique à ladite élection. Un choix de raison aux yeux de plus d’un qui créditent Paul Hounkpè de potentialités pour réussir le job. Déjà, ils sont nombreux à saluer cette marque de confiance au SEN/FCBE pour l’atteinte de l’objectif de l’alternance au sommet de l’Etat. Réagissant à la désignation du candidat des Cauris à la prochaine présidentielle, beaucoup affichent leur satisfecit face à la copie rendue. Prenant en considération la lucidité, l’humilité, l’esprit de management et autres de Paul Hounkpè à la tête de la FCBE, l’on assure qu’il est réellement celui qu’il faut pour contrer dans les urnes les duos en face.  Le sens d’anticipation, les stratégies ainsi que les discours à chacune de ses sorties placent Paul Hounkpè dans la posture de concurrent sérieux surtout face au duo du pouvoir de la rupture en 2026. Au parfum de la nouvelle depuis la soirée de ce Mercredi, des militants, sympathisants et autres du parti jubilent renouvelant leur engagement de militer jusqu’à la victoire. La preuve par excellence que le choix effectué est non seulement un choix réaliste mais cadre aussi avec le principe de l’unanimité. Ancien ministre du gouvernement de Boni Yayi également ancien maire de la commune de Bopa, le candidat désigné de la FCBE dont le leitmotiv est le développement et la prospérité dans la paix et l’unité, saura avec le soutien des uns des uns et des autres, combler les attentes de sa formation politique et de l’opposition pour prendre le pouvoir des mains des acteurs de la rupture. La chose est bien possible et l’option pour provoquer l’alternance au sommet de l’Etat en 2026, en tout cas pour la FCBE, c’est le choix de Paul Hounkpè comme le candidat du parti. 

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Alternance au sommet de l’Etat dès 2026: La bonne organisation au sein de LD donne des assurances

Alors que le compte à rebours pour les élections générales de 2026 est officiellement lancé, le parti Les Démocrates accélère sa marche vers le sommet de l’État. À travers un processus structuré de désignation de son duo candidat, notamment pour la présidentielle du 12 Avril 2026, le parti de Boni Yayi affiche clairement son ambition, celui de rendre possible l’alternance dès 2026. En effet, le Mercredi 24 Septembre 2025, le parti LD a annoncé la mise en place de deux comités chargés de piloter la désignation de ses candidats aux législatives, aux communales, et surtout à la présidentielle. Au cœur de ce dispositif, un Comité national de candidature de 15 membres tous indépendants, chargé de publier un appel à candidatures, d’examiner les dossiers, de conduire des auditions et de proposer un binôme présidentiel. Aussi, il faut noter la mise en place d’un espace informatique chargé de traiter les résultats et les demandes de candidature pour les élections générales. Ces démarches visent à permettre au parti une parfaite organisation et une participation effective aux différents scrutins de 2026. Sur le terrain, des mouvements affiliés à LD, mobilisent la jeunesse autour d’un discours relatif à l’alternance. Avec une organisation proactive, une base militante dynamique et un agenda bien calé, Les Démocrates montrent qu’ils ne comptent pas rater le rendez-vous de 2026. Mais dans un environnement institutionnel encore incertain avec des dispositions du Code électoral jugées exclusives, l’alternance reste un pari politique risqué mais envisageable. Somme toute, le parti LD ne montre aucun signe de précipitation dans la préparation des prochaines élections. Boni Yayi et les siens misent sur les stratégies internes pour prendre le pouvoir en 2026.

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Présidentielle de 2026 au Bénin :  Dr Mathias Amour Ahomadégbé en actions dans l’Atlantique pour le duo Wadagni -Talata

L’acteur de l’école Dr Mathias Amour Ahomadégbé très respecté dans le monde éducatif par ailleurs figure montante de l’Union Progressiste Le Renouveau (UP-R), s’active déjà pour la victoire du duo présidentiel Wadagni-Talata. Dans le département de l’Atlantique, il sonne de manière coordonnée et efficace la mobilisation autour du duo de la mouvance pour assurer à la majorité présidentielle la victoire déjà au premier tour du scrutin. Se démarquant par sa constance, sa méthode et son sens aigu de l’engagement, ce stratège discret mais décisif prêche pour la cause Wadagni-Talata en vue de garantir la continuité de la rupture. C’est ce qui amène depuis plusieurs semaines le candidat aux législatives passées à intensifier le travail de terrain avec ses réseaux dynamiques, constitués en grande partie d’enseignants et de relais communautaires. L’objectif étant de préparer le département de l’Atlantique à se mobiliser massivement derrière le duo Romuald Wadagni – Mariam Talata. Ainsi, sous son égide, les réunions se succèdent, les séances de sensibilisation s’amplifient de même que les concertations. Dans cette dynamique, tout est pensé pour garantir une cohésion sans faille et une participation décisive lors du scrutin à venir. Loin des projecteurs et des discours tonitruants, Dr Amour Ahomadégbé privilégie le travail patient, méthodique et de proximité. Son charisme naturel, allié à une solide capacité d’écoute, lui permet de fédérer autour du candidat Wadagni des forces diverses : enseignants, responsables politiques locaux, acteurs associatifs et simples citoyens. Cette approche pragmatique et inclusive fait de lui un acteur de terrain dont la voix pèse dans l’Atlantique. Loyal et persévérant, cet acteur clé de la mouvance incarne l’image du militant qui conjugue sens du devoir, rigueur et efficacité. À travers ses actions, il s’affirme comme un maillon stratégique dans le déploiement du projet présidentiel porté par Romuald Wadagni. Et au moment où le Bénin s’apprête à vivre une nouvelle page de son histoire politique, le nom de Dr Mathias Amour Ahomadégbé s’impose comme celui d’un bâtisseur de terrain, discret mais déterminé, dont l’action contribue déjà à écrire la dynamique victorieuse attendue pour le duo Wadagni – Talata dans l’Atlantique.

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