Quitus fiscal et certificat de nationalité: Les Démocrates pointent des lenteurs dans le processus électoral

Le parti Les Démocrates (LD) a tenu ce vendredi 10 Octobre 2025, une déclaration de presse pour informer l’opinion nationale de l’évolution de ses préparatifs pour les élections générales à venir, jugées décisives pour la survie de la démocratie béninoise. Dans son adresse, la formation présidée par l’ancien chef d’État Boni Yayi a réaffirmé son attachement au respect des lois fiscales du pays. Le parti dit n’avoir rien contre l’article 42 du code électoral qui impose à tout candidat d’être à jour vis-à-vis de l’administration fiscale avant la délivrance du quitus fiscal, pièce indispensable pour tout dossier de candidature. Les Démocrates ont d’ailleurs félicité les agents des impôts pour leur professionnalisme et leur sens du devoir. Cependant, le parti relève plusieurs dysfonctionnements persistants dans l’administration. Il dénonce notamment le cas de nombreux cadres qui, bien qu’en règle fiscalement, peinent toujours à obtenir leur quitus. « Ils sont encore nombreux les cadres du Parti qui ne doivent aucun copeck aux impôts mais qui ne sont pas entrés en possession de leur quitus fiscal. Hormis ces faits, il nous incombe de mettre également en exergue d’autres dysfonctionnements de l’administration qui constituent un boulet aux pieds de nos potentiels candidat » a fait savoir Guy Dossou Mitokpè, SNC du parti. Il y a lieu de rappeler que le parti LD attire également l’attention sur les retards dans la délivrance des certificats de nationalité, surtout depuis l’introduction par le gouvernement d’un nouveau format de ce document à quelques jours de la clôture des dépôts de candidatures. Pour le parti, cette décision soudaine du gouvernement ressemble à une manœuvre visant à créer des obstacles pour ses adversaires politiques. Les Démocrates demandent donc plus de célérité et de transparence dans le traitement des dossiers afin d’éviter toute suspicion de manipulation du processus électoral.Le parti dit aussi constater des cas d’entraves à l’authentification des actes administratifs de ses militants dans certaines mairies et juridictions, une situation qu’il qualifie de regrettable et injuste. En conclusion, Les Démocrates affirment que malgré ces difficultés, ils restent déterminés à participer aux élections générales, convaincus que rien, absolument rien, sauf Dieu, ne les en empêchera.

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Attaque terroriste déjouée à Kalalé : Une riposte salutaire des FDS aux ennemis de la paix

Suivant le serment qu’elles ont prêté de contrer en toutes circonstances les envahisseurs, les Forces de Défense et de Sécurité du Bénin, poursuivent sans relâche la lutte contre le terrorisme. L’exploit en date à leur actif est celui enregistré le Mardi 7 Octobre dernier à Kalalé suite à une provocation d’individus armés non identifiés. En effet, pour cette confrontation, deux présumés terroristes ont été neutralisés grâce à la promptitude et la détermination des Forces Armées Béninoises (FAB) qui ont réussi à déjouer un plan d’attaque dans le village de Dangazi. Selon des sources gouvernementales, l’opération a également permis de saisir d’importants matériels militaires sur les lieux. Un coup de filet qui a non seulement permis de déjouer le plan des assaillants, mais aussi de protéger efficacement la population locale. C’est le lieu de saluer cet engagement renouvelé des Forces de Défense constamment prêtes à tout pour la sécurité des populations. La nation toute entière salue les sacrifices consentis au quotidien par les FDS pour garantir la sécurité. 

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Escroquerie au nom de Reckya Madougou : La rigueur de la loi à appliquer au faussaire interpellé

Profitant du malheur de l’ancienne ministre de la justice sous Boni Yayi, Reckya Madougou depuis quelques années en prison pour des intrigues politiques, un enseignant d’histoire-géographie par ailleurs Directeur d’un Collège public à Djakotomey qui a souvent escroqué en se servant du nom de l’opposante, a été arrêté ce Mercredi 8 Octobre 2025 à Zaphi dans la commune de Dogbo. Accusé d’avoir trompé un Béninois vivant à l’étranger pour lui soutirer 15 millions de francs CFA, ce filou qui sera bientôt présenté au Procureur Spécial de la Criet, répondra de ses actes devant la juridiction qui décidera des sanctions à son encontre. Lui qui a toujours fait croire à sa victime qu’il parlait au nom de l’ancienne ministre Reckya Madougou en prison et aurait dit que celle-ci était très malade et avait besoin d’aide financière urgente pour soutirer 15 millions au Béninois de la diaspora touché par l’histoire, dira bientôt face au juge, ce qui l’a inspiré à agir de la sorte pour se faire passer pour Reckya Madougou.  Déjà, informés de la situation, ils sont nombreux à réclamer des sanctions conséquentes contre cet enseignant qui au-delà de son image, tente de saboter celle de Reckya Madougou.  Pour décourager sa posture, beaucoup suggèrent de lourdes sanctions contre cet enseignant sans pitié même vis-à-vis de personnes détenues.

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Princesse Magalie Jean- Michel Kpolodji : Une Afro-descendante de nationalité béninoise au service du rapprochement entre le Bénin et sa diaspora

Figure inspirante de la diaspora africaine, Princesse Kpolodji Magalie Jean-Michel s’impose progressivement comme une actrice incontournable du renforcement des liens entre le Bénin et ses fils et filles établis à l’étranger. Afro-descendante fière de ses origines, cette femme engagée porte haut les valeurs culturelles, historiques et spirituelles du peuple béninois, tout en œuvrant à reconnecter la diaspora à la terre-mère. De nationalité béninoise, Princesse Kpolodji Magalie Jean-Michel revendique avec fierté son héritage africain. À travers ses multiples initiatives, elle milite pour une reconnexion culturelle et identitaire entre les Afro-descendants et le continent, particulièrement le Bénin, berceau de civilisations et de traditions séculaires. Son parcours illustre la conviction que la diaspora représente une force essentielle pour le développement de l’Afrique. En initiant des projets à vocation culturelle, éducative et économique, elle s’inscrit dans une dynamique de coopération constructive entre le Bénin et ses communautés sœurs à travers le monde. Grâce à son engagement et à sa détermination, Magalie Jean-Michel a été intronisée Princesse Kpolodji par le Roi d’Allada, moment historique, un événement qui symbolise la réunion de mondes séparés par l’histoire, moment de grande portée spirituelle, politique et ancestrale. « Il ne s’agit pas simplement d’un couronnement, c’est la réactivation formelle d’une alliance ancestrale entre la maison royale d’Allada et les fondateurs révolutionnaires d’Haïti ». Cette reconnexion de la Princesse Kpolodji Magalie Jean-Michel a également une portée diplomatique et panafricaine, car elle reflète le rôle croissant du Bénin dans la réconciliation panafricaine, la diplomatie culturelle et l’unité continentale et  s’aligne sur la vision du Président Patrice Talon pour le Bénin et sur la renaissance plus large qui se déploie en Afrique de l’Ouest, notamment par les partenariats avec le Burkina Faso et d’autres nations qui réaffirment leur souveraineté culturelle. Il est important de noter que le Royaume d’Allada est le berceau de la civilisation fon et origine ancestrale de millions de descendants à travers la diaspora. Il est une institution royale vivante, essentielle à l’héritage et au leadership de l’Afrique et le Roi d’Allada a une grande influence socio-culturelle et cultuelle en République du Bénin. L’intronisation de Princesse Kpolodji Magalie Jean-Michel est un trait d’union invitant les Afro-descendants du monde entier à revenir, se reconnecter et reconstruire, positionnant le Bénin comme la patrie spirituelle de la diaspora africaine. Magalie Jean-Michel ne se contente pas de promouvoir le Bénin à travers des discours. Elle agit concrètement en organisant des rencontres interculturelles, des forums diasporiques et des événements de valorisation du patrimoine béninois. Son objectif est de faire du Bénin un carrefour incontournable de la mémoire africaine et un pôle d’attraction pour les Afro-descendants désireux de renouer avec leurs racines. Plusieurs autres initiatives sont à son actif. Par exemple, dans le Massachusetts, la princesse Magalie Jean-Michel Kpolodji a entrepris sa première initiative de réaménagement immobilier – un bâtiment de 13 unités qu’elle possède carrément dans la ville de Gateway de Fitchburg. Le projet, conçu comme une résidence de 18 à 22 unités, économe en énergie et à revenu mixte donnant la priorité aux anciens combattants, reflète sa détermination à traduire ses valeurs d’équité et de service en développement durable. Bien qu’elle en soit encore à ses débuts de financement, l’initiative est un modèle d’ambition de la diaspora et de désir de lier le patrimoine ancestral au renouveau communautaire. Par sa présence dans plusieurs cercles diplomatiques et culturels, Princesse Kpolodji Magalie Jean- Michel incarne une ambassadrice naturelle du Bénin et de l’Afrique. Elle appelle sans cesse à la solidarité entre les peuples afro-descendants et à la valorisation du génie africain dans tous les domaines : éducation, économie, spiritualité et leadership féminin. Princesse Kpolodji Magalie Jean- Michel, par son engagement et sa détermination, rappelle à la diaspora que l’Afrique, et particulièrement le Bénin, reste une maison commune. Son action quotidienne témoigne d’une conviction profonde : le futur du continent se construira dans l’unité et la fierté de ses racines. « Je me sens profondément humble et divinement aligné. Cet honneur n’est pas seulement un titre – c’est un appel sacré pour restaurer ce qui a été brisé, guérir ce qui a été réduit au silence et continuer le travail que mes ancêtres ont commencé. Je reçois cette couronne au nom de Dieu, avec gratitude, détermination et un cœur fixé sur le service à l’humanité », a réagi Princesse Kpolodji Jean Michel Magalie à son intronisation par Sa Majesté le Roi d’Allada. « Ma première priorité est l’unité – construire des ponts entre l’Afrique, les Caraïbes et la diaspora. Je me concentrerai sur la création de voies d’éducation, d’entrepreneuriat et de restauration culturelle. La vraie royauté sert, élève et donne du pouvoir. Ma mission est de m’assurer que chaque enfant de la diaspora redécouvre son héritage divin de dignité et de prospérité », a ajouté Princesse Kpolodji Jean Michel Magalie prenant l’engagement de travailler à mériter la confiance placée en elle. A la question de savoir comment compte-t-elle promouvoir les valeurs et le patrimoine culturel d’Allada et du Bénin en particulier, elle fera savoir que cela se fera dans la sincérité. « En portant la torche de la vérité, de la discipline et de l’héritage. Je ferai la promotion de l’héritage d’Allada par le biais de partenariats mondiaux, de programmes d’échanges culturels et d’un développement durable enraciné dans la sagesse ancestrale. Le monde doit savoir que le Royaume d’Allada n’est pas une histoire du passé – c’est un héritage vivant qui façonne l’avenir avec intégrité, transparence et force divine ». Parlant du passage de sa vie privée en tant qu’héritière à sa vie publique en tant que princesse, Kpolodji Jean Michel Magalie dira : « C’est le destin – écrit bien avant ma naissance. Ma vie a été guidée par le timing divin, pas par hasard. Chaque épreuve était une préparation pour ce moment. Mes ancêtres ont marché pour que je puisse me relever, et je marche maintenant pour que les générations futures puissent s’enlever. Ce chemin a été choisi par Dieu et confirmé par l’histoire ». « Lèves-toi. Souviens-toi de qui tu es. Le même feu qui a alimenté nos ancêtres brûle encore en nous. Nous ne sommes pas victimes de l’histoire – nous sommes les auteurs d’un nouveau chapitre. Grâce à l’unité, à la foi et au courage, nous restaurerons la gloire pour laquelle ils se sont battus. Notre lignée a été choisie pour reconstruire les nations, et je tiens à le rappeler au monde : nous n’étions jamais destinés à être oubliés », a lancé pour finir, Princesse Magalie Jean-Michel, Ambassadrice royale d’Allada en guise de message à l’endroit d’autres femmes et hommes descendants de Dessalines, du Président François C. Antoine Simon et Toussaint Louverture vivant à Cuba, en Haïti, aux États-Unis et dans le monde entier.

Présidentielle 2026 au Bénin : Claudine Prudencio justifie son engagement pour le duo Wadagni – Talata

Claudine Afiavi Prudencio, Présidente du parti Renaissance Nationale (RN), a pris une position claire et engagée en faveur du duo Romuald Wadagni-Mariam Chabi Talata, récemment investi par la mouvance pour l’élection présidentielle de 2026. Dans un message solennel et empreint de conviction, elle inscrit son soutien dans une dynamique de continuité républicaine, de fidélité politique et de vision partagée pour un Bénin stable et prospère. La Présidente du RN a dans son message salué la gouvernance du Président Patrice Talon, qualifié de leader incontesté de la majorité présidentielle. Elle met en avant sa rigueur, sa capacité réformatrice et son attachement à l’idéal républicain comme des repères ayant permis au Bénin de renouer avec la discipline, l’efficacité et la culture du résultat. Claudine Prudencio affirme ainsi que le duo Wadagni-Talata incarne cette vision d’avenir, cette stabilité retrouvée, et cette ambition nationale à prolonger. « Sous sa conduite, le Benin a retrouvé le sens de la discipline, de l’efficacité et du résultat. Et c’est dans cet esprit de continuité et de loyauté que le parti RN s’engage à soutenir le duo que nous portons ensemble », a-t-elle déclarée. Fustigeant la dispersion des forces, Claudine Prudencio appelle à l’union des intelligences et des cœurs autour du projet porté par la majorité. Pour elle, soutenir ce duo revient à refuser le retour en arrière et à inscrire le pays dans la fidélité, la compétence et le sens du devoir. Elle invite les Béninois et Béninoises à se mobiliser pour faire triompher une œuvre de transformation déjà amorcée. En tant que femme leader politique, Claudine Prudencio affirme que l’engagement féminin est un levier essentiel pour l’élévation de la politique nationale. « Là où la femme s’engage, la politique s’élève. Là où la femme s’affirme, la nation respire », déclare-t-elle avec conviction. Elle rejette l’idée d’exception pour revendiquer la normalisation de la présence féminine aux postes stratégiques, et veut faire de son engagement un signal clair que la femme est l’avenir de la République. Fidèle à son leader, au Président Talon, et à la vision commune, la Présidente du parti RN se dit prête à jouer un rôle actif dans cette nouvelle étape historique. Le soutien au duo Wadagni-Talata est ainsi présenté comme une adhésion sans équivoque à un projet de progrès, d’unité nationale et d’espérance renouvelée. À travers cet engagement fort, la présidente du RN s’impose non seulement comme une actrice majeure du paysage politique béninois, mais également comme une figure féminine de proue à l’ère du renouveau démocratique et à l’approche cruciale de l’échéance électorale de 2026.

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Présidentielles de 2026 au Bénin : La jeunesse panafricaniste consolide la marche de Daniel Edah et LD vers la victoire

La dynamique autour de Daniel Edah prend une nouvelle tournure décisive à quelques mois de l’échéance présidentielle de 2026. Ce Jeudi 09 Octobre 2026, La « Ligue Nationale de la Jeunesse pour l’Alternance en 2026 », portée par l’activiste panafricaniste de renom Kèmi Séba, a officiellement annoncé son ralliement à la candidature de Daniel Edah, désormais figure centrale du parti Les Démocrates. Une adhésion hautement symbolique, mais surtout stratégique, qui confirme l’élan grandissant autour de ce dernier. En effet, ce soutien n’est pas anodin. La Ligue de Kèmi Séba, très active sur le terrain auprès des jeunes, s’est imposée comme une voix incontournable dans le paysage militant africain. Son engagement pour une gouvernance souveraine, juste et tournée vers les aspirations de la jeunesse trouve aujourd’hui un écho naturel dans le projet politique de Daniel Edah. Cette convergence des visions s’est traduite par un soutien explicite, dont les implications sont multiples. En s’associant à Daniel Edah, la Ligue ne se contente pas d’un acte symbolique ; elle mobilise une force militante réelle, un réseau structuré et une légitimité auprès d’une frange de la population souvent oubliée par les gouvernants. Il y a eu lieu de préciser que ce nouveau ralliement vient renforcer l’argumentaire de ceux qui, depuis plusieurs mois, voient en Daniel Edah le meilleur choix pour conduire l’alternance démocratique en 2026. Son profil rassembleur, sa constance dans les idées, sa connaissance des enjeux nationaux et sa capacité à fédérer des forces diverses en font aujourd’hui une personnalité incontournable. Son ancrage au sein du parti Les Démocrates, la principale force politique de l’opposition au Bénin, lui confère une base solide. Mais c’est surtout la multiplication des soutiens extérieurs au parti à l’image de la Ligue de Kèmi Séba qui traduit la crédibilité et l’attractivité de sa candidature au-delà des clivages traditionnels. A l’issue de cette cérémonie d’adhésion, le Président de la Ligue a expliqué les raisons de leur ralliement au parti les Démocrates à travers leur soutien à la candidature de Daniel Edah. Ça fait un bon moment que nous sommes dans une lutte farouche contre le pouvoir parce que nous sommes contre le système avec lequel le peuple est en train d’être brimé par ce pouvoir. C’est pour cela que nous nous sommes dit qu’il faut se mettre aux cotés des Démocrates pour mener la lutte conte l’autocratie, la mauvaise gouvernance. C’est pour cela que nous sommes venus échanger avec le Président Daniel Edah et après ces échanges, nous avons décidé de mener ensemble la lutte pour l’alternance en 2026 ». Il poursuit en faisant savoir que la Ligue suivait depuis un bon moment Daniel Edah via les réseaux sociaux avec son ambitieux projet de gouvernance exposé dans l’opinion. « Nous l’avons identifié parmi tant de candidats comme le seul pouvant répondre aux aspirations du peuple béninois », a-t-il déclaré. À l’approche de 2026, il devient de plus en plus clair que Daniel Edah n’est plus seulement un candidat parmi d’autres. Il s’impose comme le point de convergence de multiples forces sociales et politiques décidées à tourner la page et à proposer une nouvelle gouvernance plus éthique, plus souveraine et plus inclusive. Le ralliement de la Ligue Nationale de la Jeunesse pour l’Alternance marque donc une étape cruciale dans la construction d’une majorité populaire et patriotique autour de Daniel Edah. Elle envoie un message fort, celui d’une jeunesse qui ne veut plus subir et qui porte ses espoirs sur le candidat Daniel Edah.

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Candidat des Démocrates pour la présidentielle : Daniel Edah : un profil qui sécurise et rassure de l’alternance

À l’heure où le parti Les Démocrates affine sa stratégie en vue de la prochaine élection présidentielle, un nom s’impose de plus en plus dans les débats internes et auprès de l’opinion publique : Daniel Edah. Ancien fonctionnaire international à la Francophonie, homme d’expérience et de conviction, il incarne un profil crédible, rassurant et porteur d’un véritable espoir d’alternance pour le peuple béninois. Contrairement à bien des figures politiques de sa génération, il ne traîne aucune casserole. Son parcours professionnel exemplaire, sa rigueur morale et sa connaissance des enjeux de gouvernance en font un choix cohérent et stratégique pour l’opposition. Doté d’une vision claire et structurée, Daniel Edah propose un projet de société ambitieux, réaliste et centré sur le développement humain, la justice sociale et la restauration de la confiance entre les citoyens et leurs dirigeants. Chrétien convaincu, il se distingue également par ses valeurs de paix, d’humilité et de réconciliation, des qualités qui manquent cruellement à la scène politique actuelle. C’est d’ailleurs cette dimension spirituelle et morale qui le démarque nettement des autres prétendants. Son ancrage régional dans le Couffo, face à une mouvance concentrée dans le Mono, rééquilibre la carte politique nationale. Il est en outre celui que redoute ouvertement le pouvoir en place, preuve de son poids électoral et de son influence grandissante. Le Comité d’étude des candidatures mis en place par le Président Boni Yayi aurait donc tout à gagner en portant son choix sur Daniel Edah. Ce dernier représente le candidat de la réconciliation nationale, celui qui peut réellement panser les blessures du passé, proposer des solutions concrètes pour les exilés, les détenus politiques, et surtout ramener la paix et la cohésion sociale au cœur du vivre-ensemble béninois. En misant sur Daniel Edah, Les Démocrates enverraient un signal fort : celui d’un parti mûr, soucieux de présenter à la Nation un candidat capable d’incarner à la fois l’alternance, la stabilité et la réconciliation. Son profil d’homme intègre, compétent et proche du peuple est aujourd’hui l’un des plus à même de fédérer les Béninois autour d’un idéal commun, celui d’un Bénin apaisé, juste et prospère.

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Single de Messager Junior : La FéNaCEPIB joue toutes les cartes pour le reversement des AME

Au Bénin, les Aspirants au Métier d’Enseignant (AME), se donnent des moyens pour revendiquer leurs droits. Portant sur leurs épaules la charge de l’éducation nationale mais forcément pas traités à la hauteur des sacrifices consentis, ils sont dans l’espérance de leur reversement ; une attente qui ne fait que durer. Mais dans sa lutte pour faire entendre raison aux autorités, cette catégorie d’enseignants reçoit le soutien de l’artiste Messager Junior qui réalise un single pour plaider la cause des AME. Prêtant sa voix à la FéNaCEPIB, l’artiste donne un souffle à un combat social d’une rare noblesse. Dans une atmosphère à la fois solennelle et populaire, le morceau déroule, mot pour mot, le texte de la lettre adressée au Président de la République. Un texte empreint de respect, mais aussi de lucidité : « Une génération s’épuise dans l’attente… ceux qui avaient 43 ans portent déjà les traits du temps ». Cette phrase, devenue symbole, résonne désormais sur les ondes et dans les esprits. Le reversement des AME en ACDPE ou à défaut, de ceux ayant déjà cumulé trois années de service constitue le cœur du plaidoyer. La FéNaCEPIB soutenue par la COSI-Bénin y voit non une faveur, mais une exigence de justice et de cohérence gouvernementale. Et c’est précisément cette dignité dans la demande que la chanson met en valeur : elle ne dénonce pas, elle implore avec grandeur. « Ce n’est pas une chanson de colère, c’est une prière civique », Pierrot AKODJENOU, l’un des Porte-parole de la FéNaCEPIB. Et le pari semble réussi : là où les mots des rapports officiels s’arrêtent, la musique reprend. Grâce à Messager Junior, la cause des AME quitte les couloirs de l’administration pour rejoindre le cœur du peuple. Le Bénin tout entier écoute désormais ce refrain qui dit simplement : « Les enseignants AME se plaignent, que le Gouvernement se souvienne d’eux ». « Monsieur le Président, Père de la Nation, Permettez que ma voix s’élève aujourd’hui, non pas pour contester, mais pour supplier avec dignité. Les Aspirants au Métier d’Enseignant ont servi avec patience, enseigné avec abnégation, et tenu debout malgré l’incertitude depuis bientôt sept (07) ans. Oui, par la voix de leur faîtière la FéNaCEPIB, ils reconnaissent vos efforts : la gratuité de la scolarité pour les enfants des AME, l’augmentation des salaires, le contrat 12/12, et tant d’autres pas déjà franchis. Mais, au bout du chemin, ils attendent ce que tout enseignant mérite : un statut stable, une carrière digne, le reversement de tous les AME en ACDPE, ou, à défaut, de ceux qui ont déjà comptabilisé trois (03) années de service, comme annoncé par votre gouvernement depuis trois ans. Car, Monsieur le Président, une génération s’épuise dans l’attente.
Ceux qui avaient 23 ans hier en ont déjà 30, ceux qui avaient 33 ans tutoient la quarantaine, et ceux de 43 ans portent déjà les traits du temps. Monsieur le Président, c’est du bien-être de toute la Nation qu’il s’agit. Car, dans chaque famille, dans chaque concession, il y a au moins un AME. Ils sont donc vos enfants ! À l’image des nombreux plaidoyers sereins et courtois de la Fédération Nationale des Collectifs des Enseignants Pré-Insérés du Bénin (FéNaCEPIB) à votre endroit, je (le je de l’artiste) viens, non pas en adversaire, mais en fils de cette Nation, pour défendre une cause noble, et réclamer justice sans heurts ni cris. Gratitude infinie à la grande maison syndicale, notamment la Confédération des Organisations syndicales Indépendantes du Bénin (COSI-BENIN), qui, toujours présente aux côtés de la FéNaCEPIB, a été un soutien indéfectible pour les AME, les épaulant avec détermination et solidarité dans leur lutte pour une insertion digne dans la fonction publique, depuis l’instauration du système de pré-insertion », relate Messager Junior à travers sa chanson.

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LD – FCBE : Des adversaires d’aujourd’hui mais de probables alliés de demain

De même obédience politique suivant les déclarations au ministère de l’intérieur et de la sécurité publique, le parti Les Démocrates et la FCBE qui devraient se donner la main pour solidifier l’opposition, empruntent des chemins divergents. Représenté à l’Assemblée nationale et remplissant les critères pour participer à la présidentielle de 2026, le regroupement LD s’apprête pour la compétition avec des forces pas la FCBE qui a noué entre-temps des accords avec les deux grandes formations de la mouvance dans la perspective des élections générales. Une atmosphère de mésentente aggravée par le dévoilement du candidat de la FCBE à la présidentielle en la personne du Secrétaire Exécutif National du parti, Paul Hounkpè. Des actes pour faire lire le divorce mais qui ne suffisent pas à établir la séparation définitive entre les deux formations politiques. Connaissant les hommes politiques et les intérêts qu’ils visent souvent à travers leurs actes, il n’est pas exclu que ces entités politiques aujourd’hui opposées se remettent ensemble. Des observateurs avertis de la chose politique attirent l’attention sur la probable entente demain entre ces deux forces.  A l’éventualité que les Démocrates accèdent au pouvoir, la FCBE qui n’entend plus militer dès 2026 dans l’opposition, n’aura d’autre choix que de se mettre ensemble avec LD pour la poursuite de l’aventure politique. Il n’y a donc pas à se baser sur les positions du moment pour conclure que tout est déjà scellé pour une mésentente à n’en point finir entre les deux partis. Tout est possible et à tout moment, les deux regroupements politiques peuvent agir ensemble et dans la même direction.    

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Nouveau format de l’aide de l’Etat à la presse : Le sentiment que le bon bout n’est pas tenu

Après près d’une décennie de suspension, l’aide de l’État à la presse a fait son retour au Bénin. La Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC), a annoncé lors de l’ouverture de sa deuxième session ordinaire le Mardi 30 Septembre 2025 à Cotonou que ce soutien revêt désormais un nouveau format. Les fonds mobilisés ne seront plus directement orientés vers les organes de presse, mais serviront principalement à financer des formations pratiques pour les journalistes et à appuyer certaines associations professionnelles dans la prise en charge de leurs charges courantes. Dans cette dynamique, environ 115 millions de francs CFA sont déjà dégagés pour la réhabilitation de la Maison des Médias Thomas Megnanssan de Cotonou, selon l’organe de régulation des médias. Un signal positif certes qui marque la volonté des autorités de replacer la presse au cœur de la professionnalisation et de la formation continue. Cependant, si cette décision est à saluer, elle laisse planer un sentiment d’inachevé. Car, au-delà des formations, le problème central des entreprises de presse, notamment privées, demeure la survie économique. Depuis dix ans, les patrons de presse attendaient avec impatience une reprise de l’aide publique pour desserrer un tant soit peu la ceinture et donner de l’oxygène à leurs collaborateurs. Mais à la lumière du nouveau dispositif, les patrons devront encore attendre, se réorganiser ou se résoudre à l’idée qu’il n’y a plus rien à espérer, sinon de compter sur leurs propres ressources. Or, la réalité est que des organes de presse cèdent déjà sous le poids de charges financières écrasantes. Beaucoup peinent à assurer des salaires réguliers, certains ont réduit leurs équipes et d’autres ont carrément mis la clé sous le paillasson. Les formations, aussi pertinentes soient-elles, ne peuvent remplacer le besoin vital de moyens financiers. La qualité de l’information repose aussi sur des conditions matérielles décentes, sur des entreprises de presse viables et sur des journalistes qui travaillent dans la dignité. En définitive, si le retour de l’aide à la presse dans sa nouvelle formule ouvre une brèche d’espoir, il faut reconnaître que le bon bout n’est pas encore touché. L’enjeu n’est pas seulement de former, mais aussi de permettre aux entreprises de presse de survivre, de se consolider et de jouer pleinement leur rôle dans la démocratie béninoise. Il est appelé à revoir au besoin le mécanisme dans le but de permettre aux entreprises de presse de toucher directement les fonds qui pourront jouer un rôle capital dans leur fonctionnement et leur survie, car une presse sans véritable moyen économique pourrait manquer le professionnalisme qu’exige le métier.

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