Choix pour faire face à Wadagni : Pourquoi le profil Edah doit intéresser

Prêt à servir ses compatriotes dans la vérité et dans la loyauté, Daniel Edah affiche un engagement qui renseigne sur sa volonté à faire du Bénin une destination sûre et attrayante avec le soutien des uns et des autres. Porteur de la vision d’un Bénin économiquement prospère et socialement stable dans une Afrique bien intégrée et en plein essor, il se positionne comme celui qui, face au candidat du pouvoir de la rupture, peut valablement faire le job pour reprendre le pouvoir d’Etat pour le peuple au soir de la présidentielle de 2026.  C’est l’homme de la situation, le médicament de la rupture aux dires de beaucoup ayant pris connaissance de sa vision pour le pays.  D’abord, mettant dans la balance son engagement surtout ses prises de positions contre l’injustice, plus d’un jurent que Daniel Edah est le profil idéal pour contrer dans les urnes le candidat du pouvoir de la rupture à savoir Romuald Wadagni. Le parcours limpide de l’ancien fonctionnaire international plaide en sa faveur pour un choix qui ne peut que faire l’unanimité. En effet, sans le comparer à qui que ce soit, beaucoup, tenant compte des grands axes de sa vision, avancent que Daniel Edah constitue la solution aux attentes des Béninois surtout dans le contexte présent. Ce qui signifie que tout dévolu jeté sur sa personne ne peut que porter de fruits pour un Bénin mieux gouverné dans l’intérêt de ses filles et fils. Ensuite, on fait remarquer que sur le plan des idées, Daniel Edah a une longueur d’avance sur ses éventuels challengers qui n’ont pas renseigné sur leur projet de société. « Nous le ferons 2026 » ; c’est l’intitulé du projet de société de l’auteur de « Il fera beau » ; un projet axé sur l’unité, la paix et le développement pour faire du Bénin un pays stable, prospère et pleinement intégré dans les dynamiques régionales du continent.
Un projet collectif visant à restaurer la confiance entre gouvernants et citoyens. « Je ne suis pas candidat pour un pouvoir personnel. Je veux servir », a souvent laissé entendre Daniel Edah laissant lire ainsi les assurances d’une prise en compte des aspirations collectives une fois dans la fonction présidentielle. Il ne reste maintenant qu’à ceux qui disposent actuellement de pouvoir de décisions au sein du plus grand parti de l’opposition de chercher à tirer profit de l’ancien fonctionnaire international dont l’engagement de remplir les charges présidentielles ne souffre de rien. 

*Dynamisme Info*

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