Le 11 Juillet 2025 c’est-à-dire demain Vendredi, selon les écrits ventilés sur les réseaux sociaux, serait la date où il ne serait plus possible de toucher au Code électoral pour un quelconque amendement. La raison avancée est qu’on sera à six mois des élections générales de 2026 et les dispositions en vigueur proscrivent la relecture des lois électorales. Des informations balancées pour visiblement tenter de préparer psychologiquement sur l’échec du combat porté par l’opposition pour la révision du Code électoral. Mais, même passée cette date, tout n’est pas si terminé et avec la volonté de part et d’autre, on peut toujours faire traduire dans les actes ce qui paraissait impossible. Pourvu que l’entente soit scellée au sein de la classe politique ou que les instructions proviennent du Chef de l’Etat, tout peut se faire et à tout moment. Considérer la requête sur la relecture du Code électoral comme un bras de fer et chercher à se décerner une victoire est une lecture erronée des réalités surtout dans le contexte politique sous les tropiques. Il n’est pas à ignorer que de tout le temps, l’opposition et même la société civile a multiplié les plaidoyers pour la révision du Code électoral. Mais jamais, cela n’a retenu l’attention des acteurs du pouvoir pour les diligences pour une suite conséquente. La résistance, c’est ce qui a été toujours opposée aux appels pour l’amendement du Code électoral jusqu’à visiblement l’arrivée du délai où rien ne serait supposément possible. Mais l’espoir est toujours permis et la balle est beaucoup plus dans le camp des acteurs politiques des deux obédiences en l’occurrence les parlementaires de la rupture pour la réponse qui convient.
*Dynamisme Info*