Réponse aux questions sur les parrainages : Daniel Edah dans un langage de foi et d’espérance

La réponse apportée aux interrogations sur les parrainages par le premier candidat déclaré à la présidentielle de 2026 au Bénin, Daniel Edah, revêt un aspect codé pour les non-croyants qui vont dans tous les sens pour commenter le raisonnement. En effet, invité de l’émission : « L’Entretien Grand Format » sur Bip Radio, à la question de savoir s’il détenait déjà les parrainages pour décrocher son ticket pour la présidentielle, Daniel Edah a répondu qu’il les a parce que son Dieu les a. Cela a suffi pour que certains relèvent un défaut de réalisme à leurs yeux dans les propos de l’ancien fonctionnaire international qui place ses initiatives entre les mains de Dieu. Et ne prenant qu’en considération le cadre juridique actuel qui verrouille le champ de participation à l’élection présidentielle, ils trouvent que Daniel Edah ne peut pas se porter candidat à ladite élection. Et pourtant, porteur de la vision d’un Bénin économiquement prospère et socialement stable dans une Afrique bien intégrée et en plein essor, Daniel Edah qui ambitionne de succéder à Patrice Talon, rêve grand pour son pays. Dieu étant le propriétaire de tout, il reste convaincu que son plan pour la renaissance du Bénin ne souffrira de rien et déroule en tant que tel le calendrier pour la mission reçue. Mais il y a comme cette foi, cette volonté inébranlable de Daniel Edah de servir son pays dérange d’aucuns dans des actes pour tenter de lui faire rebrousser chemin. N’ayant visiblement pas pris connaissance du contenu de sa déclaration de candidature à travers laquelle il tend la main aux élus détenant le pouvoir des parrainages, les personnes dans des critiques contre Daniel Edah ignorent les schémas du présidentiable pour aller jusqu’à la victoire. D’ailleurs, le précurseur du concept « Il fera beau” n’entend rien fait sans l’accompagnement des Béninois. A travers son mouvement « Nous le ferons », il compte sur le soutien de chacun et de tous pour faire du Bénin un pays de paix, bien gouverné et où les uns et les autres se parlent et se comprennent en tournant dos aux manœuvres de règlements de comptes. Il paraît donc indécent de chercher à se moquer de ce citoyen qui a osé introduire la foi, la conviction spirituelle et l’assurance intérieure dans le discours politique pour faire percevoir autrement les choses. Sa posture n’est ni une fuite, ni une naïveté. Avoir la foi, ce n’est pas fuir la réalité, c’est la traverser avec une force plus grande. Et Daniel Edah montre si bien l’exemple qu’il surprendra positionnement ceux qui prennent peu au sérieux sa déclaration de candidature. Ce n’est sans doute qu’une question de temps.

*Dynamisme Info*

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