L’argument que les acteurs de la rupture mettent dans la balance pour justifier leur prétendue proximité avec le peuple est que le pouvoir en place excelle dans les réalisations que cela suffit pour assurer la victoire aux élections générales de 2026. La construction de marchés modernes ; la construction de stades ; celle d’infrastructures routières sans oublier des efforts dans les secteurs de l’énergie, de l’éducation et autres sont exhibés pour en quelque sorte préparer psychologiquement sur le maintien au pouvoir des décideurs actuels qui n’auraient pas à souffrir de la caution du peuple. Un paramètre insuffisant aux yeux de beaucoup pour réussir dans le contexte présent une campagne et s’assurer de remporter des élections. En effet, le régime en place qui ne démérite pas surtout sur le chantier de réalisation d’infrastructures ne bénéficie pas forcément de la confiance du peuple pour ses différentes décisions. Les lois sur les restrictions des libertés ; la situation sociale ; l’emprisonnement de personnalités politiques de l’opposition et le cas des exilés sont entre autres griefs nourris contre le pouvoir de la rupture dont le bilan quoi que reluisant, ne suffit pas à aligner le grand nombre sur les stratégies pour la conversation du pouvoir. Ce qui amène plus d’un à trancher que pour une campagne réussie pour la rupture, le bilan des dix ans de gouvernance ne suffira pas pour concrétiser l’objectif escompté.
*Dynamisme Info*