Un commissaire adjoint placé sous mandat de dépôt pour avoir libéré un présumé violeur en contrepartie d’une somme de 300 000 francs CFA ; le fait alimente l’actualité sur les réseaux sociaux pour étaler la malhonnêteté de ce flic en conflit avec sa propre réputation. Un acte indigne d’un fonctionnaire de son rang à décourager par la justice pour éviter tout effet de contagion. Déjà placé sous mandat de dépôt, l’intéressé censé donner le bon exemple et tomber volontairement dans la bêtise, devra payer pour son acte. La justice devra sortir une peine pour faire regretter au commissaire adjoint en question ce fait qui semble jeter de discrédits sur toute une corporation. Poursuivi pour «abus de fonction », l’agent de police dans le cas à son procès le 22 Mai prochain, devra sans intention d’orienter la justice, écoper d’une condamnation à la hauteur de l’infraction. La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) qui connaît de l’examen du dossier, devra agir en sorte à décourager le concerné qui traînerait un passé judiciaire, avec des antécédents de détention pour que son cas serve de leçons.
*Dynamisme Info*