Réaction à la sortie de Houngbédji sur la gouvernance en place : L’UPR  traite-t-elle le patriarche comme un militant lambda ?

A la suite des acteurs politiques et activistes visiblement commis pour s’en prendre à la personne de Me Adrien Houngbédji après ses observations sur la gouvernance actuelle, le regroupement dont peut se réclamer membre fondateur le patriarche a réagi aux propos enregistrés et plaidant en faveur des exilés et détenus politiques pour préconiser le dialogue. Christian Parfait Ahoyo, c’est celui qui est intervenu au  nom de l’Union Progressiste le Renouveau pour apporter Vendredi 7 Février 2025 des clarifications sur  la position de l’UPR. Et suivant les propos du Porte-parole de l’UPR, « les déclarations ont été faites hors de toute instance du parti». Dans une interview vidéo diffusée sur la page Facebook du parti Vendredi 07 Février, il a indiqué que si l’ancien Président de l’Assemblée nationale est l’une des personnalités tutélaires du parti, il n’a pas « reçu mandat pour s’exprimer ainsi en son nom ». Christian Parfait Ahoyo informera par la suite que « le Président du parti a déjà fait part  à Me Adrien Houngbédji de la surprise, de l’étonnement, voire de l’incompréhension des militants du parti ». Le Porte-parole de l’UPR laissera entendre que « la réforme du système partisan demande beaucoup de sacrifices ». Il estime qu’il ne peut pas être aisé de faire face à toutes les contraintes et surtout au renoncement que cette réforme impose. « Renoncer aux privilèges, aux intérêts préservés pendant des décennies, au confort, je dirais même à une certaine satisfaction morale, peut être difficile, et le parti en convient »,  a-t-il précisé. Des détails pour fustiger  la posture de l’ancien Président de l’Assemblée nationale à qui est en quelque sorte dénié le droit d’opiner de cette façon sur l’actualité nationale. Pour plus d’un qui confient leurs impressions sur le sujet, Me Adrien Houngbédji qui a pratiquement rang  de Président d’honneur de l’UPR est traité comme un militant  lambda soumis strictement à la discipline du groupe. Ils soulèvent la question de savoir  ce qui adviendrait au cas où les déclarations mises en cause étaient destinées à louanger le régime de la rupture.

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