L’opposition au régime de Patrice Talon qui réclame pour le moment sans gain de cause la relecture du Code électoral, sait ce qui est à faire pour tourner la page de la rupture dès 2026. Elle qui attend de communiquer le nom de son duo-candidat à la présidentielle de 2026, peaufine sans doute dans l’ombre des stratégies pour briser le rêve de la continuité agité par des partisans du pouvoir. Plus unis qu’hier, les contradicteurs de la gouvernance en place ne manqueront pas de surprendre positivement pour ensemble avec le peuple, poser l’acte pour la restauration de la démocratie. Ceci suppose des options pour s’assurer de remporter le challenge et faire prévaloir une gouvernance inclusive dès l’accession au pouvoir. Mais le plus important réside en dehors de la proximité avec les potentiels électeurs, dans le choix des personnes pour briguer la magistrature suprême au nom du regroupement. Et c’est à ce niveau qu’il faudra faire beaucoup plus preuve de sacrifices en jetant le dévolu sur des profils à même de faire l’unanimité. Il appartient au Cadre de concertation des forces politiques de l’opposition de veiller à porter le choix sur des figures qui incarnent une certaine notoriété et jouissent de la confiance des populations qui approuvent leur façon de percevoir globalement les choses. Il faudra également s’assurer de faire insérer dans les rangs le ou les regroupements indécis pour entrevoir ensemble le défi de l’alternance. Ces attentes une fois comblées, c’est le ticket pour la Marina qui est garanti à l’opposition qui ne peinera pas à décrocher totalement la confiance du peuple.
*Dynamisme Info*