Le Bénin est un pays respecté même au-delà des frontières et le Président Patrice Talon à travers différentes mesures, veille constamment sur l’image du pays qu’il dirige depuis 2016. C’est ce qui justifie l’arsenal de décisions pour décourager les auteurs de pratiques rétrogrades et donner force à la justice pour décanter des situations. Mais il y a comme des gens aiguillonnent dans l’ombre pour mettre en péril tout se qui se construit dans le dessein de mettre davantage en confiance. Le traitement fait du dossier opposant Stéphane SAFIEDDINE à l’homme d’affaires béninois Kikissagbé Godonou Bernard (KGB) qui a escroqué son vis-à-vis et certifié à travers un arrêt par la Criet explique un peu la sorte de négligence pour faire rembourser la victime spoliée à hauteur de milliards de francs CFA. Pour rappel, Stéphane SAFIEDDINE a bénéficié d’une décision de justice ordonnant son dédommagement. L’arrêt prononcé par la Criet recommande la vente de biens saisis auprès de KGB pour le rembourser. Mais force est de constater que le jugement prononcé peine à être appliqué pour faire souffler la victime totalement dévalisée. Ce qui fait penser à des mains invisibles qui empêchent de donner force au contenu de l’arrêt de la Criet qui a fait l’essentiel pour dire le droit. Même l’évocation à travers la presse dudit dossier n’a pas contribué à faire bouger les lignes avec l’affaire qui demeure sans issue. Ce qui fait reposer à nouveau les espoirs sur le Chef de l’Etat, la véritable clé pour le dédommagement. Homme de droit et très rigoureux, beaucoup jurent que ce dossier connaîtra de célérité avec l’implication personnelle de Patrice Talon pour faire refermer la page. Il sied de faire observer que des sources renseignent que le dossier n’a pas connu d’évolution et les demandes formulées en vue de relancer son exécution sont restées sans suite. On laisse entendre que les ventes n’ont pas été effectuées, les notaires n’ayant pas pu disposer des titres des immeubles importants. « Seuls quelques titres leur ont été remis par les greffes, pour des immeubles de valeurs insignifiantes. Et il est possible de suspecter que la disparition des pièces dans les greffes ait été faite de manière volontaire. Là également, les demandes en vue de diverses enquêtes n’ont connu aucune suite », fait-on savoir. Une situation face à laquelle l’intervention personnelle du Chef de l’Etat aidera à faire bouger les lignes pour aller à ranger cette affaire qui dure de trop et cause davantage de préjudices à la victime. D’ailleurs, l’effort important de la Criet risquerait d’être affaibli si ses décisions ne sont pas exécutées et si certaines personnes parviennent encore à user de stratagèmes et manœuvres diverses pour se soustraire à leurs obligations et aux condamnations prononcées contre elles. Face à l’urgence de dédommager Stéphane SAFIEDDINE, il y a donc lieu d’exécuter la contrainte par corps prononcée par l’arrêt de la Criet. Il est également nécessaire de situer les responsabilités et de retrouver les titres de propriété des immeubles dont la vente a été ordonnée par la décision de la Criet en vue de procéder à la vente effective et au paiement de Stéphane SAFIEDDINE.
*Dynamisme Info*