La date du déroulement du prochain scrutin législatif est connue et fixée au 8 janvier 2023. Une précision qui met en action les états-majors des partis politiques pour en quelque sorte la précampagne. Mais ce qui semble préoccuper après l’annonce du calendrier, c’est les voies et moyens pour l’ouverture du jeu pour éviter d’enregistrer de plaintes à l’image de celles relatives aux élections passées. On invite de ce point de vue le pouvoir à faire jouer le rôle qui sied pour la prise en compte de toutes les obédiences dans le cadre du prochain rendez-vous électoral. Car, si fixer la date des élections est salutaire, permettre à tous les courants politiques d’y prendre part l’est encore davantage pour la vitalité démocratique, incontestablement socle du renforcement de l’état de droit. Travailler à corriger l’image de Parlement monocolore ne fera que du bien au pays qu’il aidera à faire conjuguer au passé les clivages politiques souvent observés.
Dynamisme Info : Edition du 28 Février 2022