Congrès de mise en conformité du Psl le samedi : Dr Henri Medrid éclaire sur les objectifs du conclave des Sociaux Libéraux

Les Sociaux Libéraux du Bénin entendent formaliser leur formation politique pour ainsi se conformer aux dispositions découlant de la réforme du système partisan. C’est à cet effet qu’un Congrès extraordinaire de mise en conformité du Parti social libéral (Psl) se tient ce Samedi dans les locaux de la mairie d’Abomey-Calavi après bien entendu les rendez-vous du 16 juillet 2016 et du 02 février 2020 respectivement pour le Congrès constitutif et celui de la refondation. Il s’agit cette fois d’une rencontre dans le cadre des formalités pour l’obtention du récépissé afin de figurer sur la liste des partis régulièrement constitués en République du Bénin. Une activité pour laquelle des précisions et assurances ont été apportées par le numéro 1 de ladite formation politique Dr Henri Medrid qui parle d’une assise pour lire et amender ensemble les textes et par la même occasion parcourir les dossiers avant leur acheminement au ministère de l’intérieur. Selon ses clarifications, le Psl qui a de nouveau à apporter au débat politique national qu’aucun autre parti ne peut apporter et qui nourrit des ambitions pour les prochaines législatives, se doit de se mettre au pas pour les préalables en vue de la conquête des sièges parlementaires. «Les centristes ont un crédo et des dogmes qui consistent à placer l’épanouissement du citoyen béninois avant tout.
Nous sommes dans un pays où les contre-pouvoirs n’arrivent plus à jouer leurs rôles ; la société civile n’arrive plus à jouer son rôle. Nous pensons que si nous au plan politique, nous pouvons être utiles à quelque chose, nous agirons dans cette dynamique de défense de l’intérêt collectif parce que pour tout développement à notre avis doit d’abord viser l’homme en amont comme en aval », laisse-t-il entendre avant de situer sur les points saillants au menu du Congrès de mise en conformité. Dans ce cadre et selon ses propos, le rendez-vous du Samedi prochain sera l’occasion pour accorder des distinctions aux confessions religieuses ayant connu leur point de départ à partir du sol béninois et qui se retrouvent aujourd’hui un peu partout dans le monde. L’instant du Congrès sera également mis à profit, poursuit Dr Henri Medrid pour faire connaître du public les aspirants à l’Ordre suprême des Etoiles d’or des Sociaux Libéraux panafricanistes du Bénin ; une forme de distinction pour amener à faire plus d’efforts dans l’intérêt supérieur de la nation. Et à la question de savoir pourquoi c’est à quelques mois des prochaines législatives qu’intervient le présent Congrès, Dr Henri Medrid estime que c’est maintenant que l’heure a sonné pour les Sociaux Libéraux de faire entendre comme cela se doit leur voix pour la bonne gestion des affaires publiques dans le pays. «C’est l’œuvre du destin tout simplement. Nous n’avons de subventions de qui que ce soit. C’est à la sueur de nos fronts que nous évoluons. Et c’est maintenant que notre heure est en train de sonner devant Dieu. Il n’y a pas de calcul, il n’y a pas un calendrier en tant que tel. Mais ce qui est certain est que nous aimerions nous aussi postuler au récépissé pour pouvoir candidater pour les législatives afin de faire entendre la voix des centristes », soutient-il.
Le numéro 1 du Psl somme toute, rassure sur la réussite de l’événement à venir et invite à l’accompagnement de tous pour faire du rêve du Psl de conquérir l’espace politique pour se hisser très prochainement au sommet, une réalité. «  Le Psl est un parti aux mains de la jeunesse, des femmes, du paysannat, des ouvriers, des artisans. Le Psl c’est un parti de masse », conclut-il.

Dynamisme Info: Edition du 17 Mars 2022

Levée presque totale des mesures de restriction contre le mal planétaire: Comme si le Coronavirus n’avait jamais existé au Bénin

Le Conseil des ministres de ce mercredi 16 Mars 2022 a décidé entre autres de la levée de la quasi-totalité des mesures mises en placer pour se protéger et lutter contre le Coronavirus. Et mise à part la vaccination et le port du masque qui restent en vigueur, presque toutes les autres dispositions ont été sautées sous le prétexte que de nouveaux cas de contaminations ne sont plus enregistrés. Et à prendre en compte la tenue des mesures désormais de mise, c’est à croire que le Coronavirus n’a jamais existé sous les tropiques ou qu’il a été rapidement contenu à son avènement. Tel que le mal était présenté, beaucoup ne pouvaient pas envisager sa maîtrise aussi tôt au point d’autoriser à renouer avec la vie d’entre-temps. Mais c’est sans compter peut-être avec les données du gouvernement qui vient d’ailleurs de lever les restrictions autrefois de mises. Et le moins qu’on puisse dire est que tout se passe comme si le mal n’a jamais sévit au Bénin.

Dynamisme Info: Edition du 17 Mars 2022

Faits de transhumance dans les partis de la mouvance à la veille de 2023 : Talon appelé à décourager les auteurs lors des positionnements

Face à ce qui paraît actuellement comme mode dans le milieu politique à savoir les navettes dans les partis politiques en vue des enjeux liés aux prochaines législatives, le Chef de l’Etat qui sait agir pour le respect de l’éthique devra aller à des actes pour faire décourager en son temps ceux ses soutiens qui s’adonnent à ce vilain jeu. Suivant sans doute les choses de près, il ne perdrait pas à faire identifier ces plaisantins politiques qui travaillent visiblement à faire échouer ses réformes pour pourquoi pas en son temps à les mettre à l’écart lors des positionnements sur les listes. En effet, avec l’allure que prend le phénomène de la navette entre les partis de la mouvance, il urge des actions de la part du Chef de l’Etat pour décourager ceux qui sous de fallacieux prétextes se promènent à la recherche de confort politique. Au besoin, leurs noms devront être recensés pour la sanction conséquente lors des positionnements et Patrice Talon ne devra pas rester sans agir à leur encontre.

Dynamisme Info: Edition du 17 Mars 2022

Engagement pour le hautement social: Ces actes qui font perdre tout espoir au peuple

Alors que l’engagement a été pris de faire souffler un tant soi peu après le premier mandat de la rupture sous le signe de serrage des ceintures, des faits presqu’au quotidien enregistrés laissent à douter de la tenue de la parole donnée. En effet, dans l’attente de mesures pour être soulagés des difficultés sociales, les Béninois constatent avec désolation l’enchaînement de décisions pas pour leur favoriser l’existence. La cherté des produits de grande consommation ajoutée à la pléthore de taxes n’est qu’indicatrice de la situation malheureusement de mise et qui vient contredire la promesse faite de s’investir pour le hautement social. Il ne paraît pas exagéré de dire au regard de la volonté à faire renflouer les caisses quoi qu’en soit le prix à payer par le citoyen que les dirigeants en place ne se montrent pas si préoccupés par l’amélioration du quotidien du peuple. Désespérées, certaines personnes vont même jusqu’à demander de ranger d’abord le hautement social pour n’en parler que quand le gouvernement agira. On trouve contradictoires à la promesse faite des dispositions surtout contenues dans le Code général des impôts qui viennent compliquer encore plus le quotidien du peuple. Et prenant en considération les difficultés sociales qui ne font que s’amplifier, beaucoup en attendant de voir le contraire, ne nourrissent plus d’espoir pour l’effectivité du hautement social.

Dynamisme Info : Edition du 14 Mars 2022

Taxes sur les opérations MoMo: Entre MTN et la Direction des impôts, qui floue les abonnés ?

Un flou semble régner autour de la taxe supplémentaire prélevée par le réseau MTN depuis ce 11 Mars 2022 pour les opérations de retrait d’argent effectuées par ses abonnés. Pendant que l’opérateur GSM justifie la situation par la mise en vigueur d’une disposition du Code général des impôts qui instaurerait une taxe sur ledit service, certaines informations découlant de clarifications antérieures par le DG Nicolas Yènoussi laissent penser totalement le contraire créant donc la confusion dans les esprits. Et nombreux sont les abonnés du réseau à ne rien comprendre du calvaire à eux imposé de même que son origine pour savoir à qui s’en prendre réellement en vue d’une éventuelle correction de la situation. Prenant en considération le message d’informations de MTN qui lie le fait à l’application des recommandations du Code général des impôts d’une part et les clarifications apportées antérieurement par le DG impôts qui précise clairement que la taxe en question ne doit pas être supportée par le consommateur, on se demande qui d’entre les responsables du réseau et le DG Nicolas Yènoussi tente de ruser avec les consommateurs sous le fardeau d’autres taxes et insatisfaits par les services offerts. Qui est réellement à la base de ce que vivent actuellement les clients de MTN-Bénin ? Une question que ne manquent de se poser plus d’un curieux et très impatients de savoir à quoi retourne ce que MTN impose à sa clientèle. Déjà et face à la gravité de la situation, on se surprend du silence du gouvernement et de l’Arcep pourtant bien placés pour éclairer la lanterne des uns et des autres. Le DG Nicolas Yènoussi est pour sa part invité à monter à nouveau au créneau pour repréciser le contenu de la disposition du Code général des impôts à la base de l’imbroglio. Agir urgemment pour assouplir les difficultés des abonnés ne contribuerait qu’à calmer les frustrations déjà palpables à travers les initiatives de désabonnement de la page de MTN. En tout cas irrités, les consommateurs n’entendent pas se laisser faire et se disent prêts à tout pour la correction de l’injustice à leurs yeux.

Dynamisme Info : Edition du 14 Mars 2022

Non figuration aux activités politiques depuis sa prise de fonction à l’INF : Prudencio refuse la compromission !

Ceux qui se posent et de droit de questions sur le constat selon lequel Claudine Prudencio ne s’affiche pas depuis son entrée en fonction à la tête de l’Institut national de la femme aux activités politiques organisées notamment par le Bloc Républicain parti au sein duquel s’est fondu son ancien creuset l’Udbn, ont presque désormais la réponse à leurs curiosités. Des explications apportées ce dimanche par la concernée au détour d’une émission télévisée, il ne s’agirait pas de la politique de la chaise vide mais d’une option pour faire primer les missions républicaines sur les ambitions politiques. « Je ne fais pas la politique de la chaise vide mais il faut savoir que j’ai désormais un mandat républicain à remplir à l’INF. Les ambitions politiques ne priment pas sur les missions républicaines. Pour l’instant, je m’attèle à réussir la mission que le Chef de l’Etat son excellence Patrice Talon a bien voulu me confier. Pour moi, réussir cette mission est un défi qui passe avant tout », laisse entendre l’ex Présidente de l’Udbn qui éclaire ainsi sur la sorte de passivité politique notée à son niveau depuis sa prise de service à la tête de l’INF. Celle qui promet d’aviser au cas où le Président de la République lui demanderait de se porter candidate pour les prochaines législatives, renseigne de ce fait sur son penchant pour la défense et la promotion des droits des femmes que n’importe quelle autre considération. Une attitude qui ne peut qu’être saluée pour encourager à aller dans la même logique, celle de faire la démarcation entre la mission qui est actuellement la sienne et les activités liées à la politique.

Dynamisme Info : Edition du 14 Mars 2022

Conseil communal d’Abomey-Calavi: La réhabilitation de l’autre ancien maire au cœur de multiples interrogations

Au-delà de ce qu’elle serait légalement fondée tel que soutenu par le numéro 1 de la cité dortoir, la réintégration dans le conseil communal d’Abomey-Calavi de l’ancien maire Patrice Hounsou-Guèdè après sa peine privative de liberté reste un acte surprenant objet donc d’interrogations. En apprenant la nouvelle, beaucoup affichent leur étonnement de voir retrouver son siège de conseiller cet élu du Bloc Républicain qui aura passé un an derrière les barreaux dans un dossier de délivrance de faux document administratif. On se dit surpris de la réhabilitation dans la fonction de conseiller communal de celui qui aura dirigé la commune de 2008 à 2015 et qui sera reconnu coupable de fautes dans l’exercice de ses charges. D’abord, on trouve pas très collée à l’éthique la décision prise par l’intéressé lui-même de renouer avec sa fonction de conseiller communal alors qu’il venait de sortir d’une situation sans doute éprouvante. On avance que Patrice Hounsou-Guèdè déjà d’un certain âge avec à son actif une mine d’expériences politiques rendrait plus service en cherchant à se retirer momentanément et pourquoi pas carrément de la vie politique pour permettre aux jeunes de faire leurs preuves. On estime que la façon dont l’intégration a été actée écorche quelque peu la morale en ce sens qu’elle remet au devant de la gestion des affaires publiques quelqu’un qui a été sous le coup de la loi et qui devrait profiter de l’occasion pour se donner une retraite politique. L’ancien maire Patrice Hounsou-Guèdè à se fier aux critiques enregistrées après sa réintégration, aurait donc loupé l’occasion de contribuer à la promotion des jeunes prônée par le Chef de l’Etat qu’il soutient.

Dynamisme Info : Edition du 14 Mars 2022

Taxes sur opérations MoMo : Faut-il jeter la pierre qu’à MTN?

Les opérations de retrait d’argent via Mtn-Bénin sont depuis quelques jours frappées de taxes mises à la charge des abonnés. Ce qui fâche les clients qui s’en prennent par diverses initiatives qu’au réseau accusé d’être à la base de la situation. Une campagne de désabonnements est même lancée pour faire manifester les frustrations suite à la mise en application de la mesure de taxation. Une initiative pas soutenue par beaucoup qui trouvent bien profonde la cause de la situation. A rapporter ceux-ci, MTN-Bénin ne fait que se conformer à une décision entérinée par l’Assemblée nationale à travers le Code général des impôts qui instaure une taxe contributive à la charge de l’abonné GSM. Un fonds automatiquement défalqué lors des opérations de retrait et aujourd’hui à l’origine de la mésentente entre le réseau et les clients. On demande alors d’agir beaucoup plus contre les gouvernants qui détiennent en premier le pouvoir de corriger la situation. A l’encontre du réseau en question, on appelle plutôt à des actions pour faire améliorer la qualité des services fournis.

Dynamisme Info : Edition du 14 Mars 2022

Création annoncée de ORTB+ : Une privatisation déguisée de l’audiovisuel public, selon Déo Gratias KIndoho

La décision d’aller à la création d’une nouvelle chaîne dénommée ORTB+ dont le management sera confié à des experts étrangers n’est pas du goût de l’ancien journaliste de l’Office Deo Gratias KIndoho qui y voit une manière pour privatiser l’audiovisuel public. A travers une réflexion postée sur sa page Facebook, l’auteur de l’ouvrage « Hors antenne » ne trouve pas pertinente cette idée dont la mise en œuvre pourrait faire enterrer et définitivement l’ORTB. Et plutôt que d’aller de la sorte, celui qui ne voit aucun besoin d’aller à la création de ORTB+, demande à mettre des ressources au profit de la radiotélévision publique et laisser les journalistes travailler librement pour s’attendre à des résultats probants. Pour Deo Gratias KIndoho, il y a sans doute des intentions cachées derrière le projet exhibé préjudiciables pour l’avenir de la chaîne-mère. (Lire son post à cet effet).

Dynamisme Info : Edition du 14 Mars 2022

Récurrentes interruptions de l’énergie électrique: Sbee appelée à situer sur les réelles causes

Alors qu’on pensait déjà fait tourner la page des délestages, les coupures répétitives et prolongées d’énergie électrique observées depuis un bon moment viennent pour faire déchanter et replonger dans les vieux tristes souvenirs. Et le tableau présenté aujourd’hui ne semble pas être différent de ce que vivaient les abonnés dans un passé pas très lointain. Il n’est pas exagéré d’avancer et ce au regard de ce qui est de mise que la structure ayant à charge la fourniture de l’électricité cafouille pour ne pas renseigner sur les réels mobiles du calvaire imposé aux clients. D’où des appels en direction de la Sbee pour à défaut de corriger rapidement la situation, venir s’expliquer sur les dysfonctionnements de plus en plus enregistrés et causant des désagréments aux abonnés. En effet, irrités par le triste spectacle presque quotidien lié à l’interruption de l’énergie électrique, beaucoup suggèrent à la société d’aller à ne pas saboter les efforts des gouvernants pour faire souffler dans le domaine énergétique. On invite la structure qui reste intransigeante face aux devoirs de ses clients à jouer toute sa partition pour mettre dans leurs droits, les abonnés. Mais déjà, on s’impatiente de savoir ce qui peut bien être à la base des dysfonctionnements notés objet de tant de préjudices pour les populations.

Dynamisme Info : Edition du 14 Mars 2022