Acte de grande barbarie à Natitingou : Un enfant de 6 ans décapité par un charlatan

En attendant que les investigations de la Police informent plus sur ce qui s’est réellement passé, un enfant de 6 ans a été victime de la barbarie d’un délinquant qui lui a tranché la gorge. En effet, ce Samedi 28 Mai 2022, la mauvaise nouvelle du meurtre s’est répandue dans la ville de Natitingou pour informer de l’acte inhumain de la part de ce hors- la -loi désormais aux mains de la Police. Selon les récits et les témoignages, il aurait par ruse entraîné l’enfant à le suivre dans sa case pour finalement le mettre à mort. On raconte sur les lieux du triste acte par la suite envahis par les populations que la Police a été tenue informer par un des complices du malfaiteur qui s’est donc confier aux hommes en uniforme. Une affaire qui relance la question du grand banditisme dans les villes et campagnes du pays ainsi que les débats sur les pratiques de charlatanisme et de sacrifices humains. Ce qui est à souhaiter maintenant est que tout soit mis en œuvre pour faire la lumière sur ce dossier et au besoin démanteler le réseau de malfaiteurs qui jette tristement son dévolu sur les petits enfants, des âmes innocentes.

Dynamisme Info : Edition du 30 Mai 2022

Défis des législatives et combats politiques à venir : Moussiliou Djaboutouboutou et la Coalition 2021 désormais RLC

C’est avec le parti Restaurer La Confiance (RLC) que le jeune Moussiliou Djaboutouboutou et la coalition 2021 feront désormais chemin pour aller à la conquête de l’électorat en vue de victoires politiques. Après des consultations avec des partis, c’est sur celui présidé par Irénée Agossa que le dévolu a été jeté pour relever ensemble des défis à commencer par les élections de janvier prochain. Ce samedi 28 Mai 2022 en effet, l’acte de ralliement d la Coalition 2021 à RLC a été posé comme pour marquer officiellement l’adhésion des deux entités politiques à la même vision. Il a été donc convenu de travailler main dans la main pour faire une politique avantageuse pour les populations surtout pour leur épanouissement individuel et le développement du pays. L’accent est mis beaucoup plus sur la jeunesse pour traduire en actes les idéaux en vue de l’ancrage encore plus de RLC pour prendre le dessus pourquoi pas sur les adversaires lors des compétitions électorales. Et dans cette veine, le Président Moussiliou Djaboutouboutou qui ne fait pas les choses à moitié a invité tous les coordonnateurs de la Coalition 2021 à travailler désormais en symbiose avec les responsables régionaux du parti Restaurer La Confiance et ceci dit, en vue de maximiser les chances de relever les défis qui se présentent à eux. « Nous devons inverser la tendance pour une relève de qualité digne de confiance et capable de concevoir le développement. Après échanges avec quelques formations politiques pour continuer le combat notamment les législatives de 2023, le parti qui s’est montré accessible aux conditions de la COALITION 2021 est le parti Restaurer la Confiance. C’est dans cette dynamique que la COALITION 2021 a pris la décision d’adhérer officiellement au parti Restaurer la Confiance. J’invite tous nos coordonnateurs et militants sur l’ensemble du territoire national à adhérer massivement au parti Restaurer la Confiance afin qu’ensemble Unis main dans la main, nous relevions les défis de notre génération. En tant que jeunes, nous allons apporter une touche particulière dans l’animation de la vie sociopolitique de notre pays afin qu’elle contribue conséquemment à l’épanouissement des jeunes et au bien être des populations à la base », laisse entendre Moussiliou Djaboutouboutou avant d’appeler pour finir les uns et les autres à lui faire dans sa nouvelle marche politique.

Dynamisme Info : Edition du 30 Mai 2022

Stratégies de négociations avec les autorités pour faire aboutir des revendications: Prof Julien Gbaguidi édifie les responsables étudiants de la Fneb

Invité par le Conseil Fédéral (CCF) pour aguerrir les responsables étudiants sur le volet de négociations en vue d’obtenir des autorités des suites favorables à leurs demandes, le Professeur titulaire des universités Cames Julien Gbaguidi a présenté une communication qui a permis d’outiller la cible sur les habitudes qui devraient être la sienne pour faire satisfaire les plateformes revendicatives. Sur le thème : « Techniques de négociation avec les autorités décanales, rectorales et ministérielles, l’Enseignant du département de Linguistique par ailleurs ancien responsable syndical est allé comme dans une démarche de partage d’expériences pour montrer à ses interlocuteurs comment remporter des parties de challenge sans aucune forme de violences. Dans son développement, il a donc mis l’accent sur la communication non violente, la communication par intelligence émotionnelle et l’art de la guerre par les actes de langage locutoire, illocutoire et perlocutoire dans le respect, la rigueur et surtout le consensus. Il a surtout tablé sur le consensus avec les autorités qui ne s’obtient selon ses dires que par les meilleures informations utiles en asymétrie avec la mobilisation, le fonctionnement des institutions et la défense des intérêts. Un développement qui a suscité une série de questions auxquelles le communicateur a apporté des réponses à la satisfaction du public. D’ailleurs, la façon de présenter de Julien Gbaguidi a séduit l’assistance qui a trouvé en lui des qualités de manager et souhaité qu’il soit hissé les années à venir au plus haut niveau de la gouvernance universitaire ou de l’éducation nationale. Un mérite pour l’ancien Chef département de Linguistique et actuellement coordonnateur du Master biplurilinguisme et intercuturalité et secrétaire scientifique de la formation doctorale sciences du langage et de la communication qui a toujours marqué positivement à travers la bonne gestion des parcelles de pouvoir à lui confiées. La preuve, après cette activité et en solidarité à l’équipe décanale de la Flac, à ses pairs promus au Cames en 2021 et aux étudiants méritants, le Professeur Julien K. Gbaguidi a honoré de sa présence effective la journée de l’excellence de la Flac.

Dynamisme Info : Edition du 30 Mai 2022

Législatives libres, transparentes et apaisées en 2023 : Le Clergé Béninois montre la voie à suivre

Le Clergé se met en actions pour des élections libres, transparentes et apaisées en 2023. Sans attendre d’être sollicitées ou guetter d’éventuels moments de conflits pour venir travailler à éteindre le feu, les sommités de l’Eglise catholique fixent déjà les acteurs politiques et autres sur leurs devoirs pour préserver et consolider la paix avant, durant et après le scrutin législatif. Et ce vendredi 20 Mai 2022 à Cotonou, elles ont échangé avec les représentants de toutes les obédiences politiques et des Présidents d’institutions de la République dans la perspective des élections de janvier prochain. Le but visé est de faire éviter à tout prix au Bénin les événements à l’image de ceux enregistrés surtout en 2019 et 2021 et caractérisés par des violences et arrestations. L’Eglise catholique fait observer qu’en dépit des initiatives prises après pour le retour du vivre-ensemble, que ces événements ont affecté quelque peu la cohésion nationale. D’où les présentes assises avec les acteurs politiques et responsables d’organismes ayant une parcelle de décisions dans la tenue des élections au Bénin. Et le thème choisi à savoir :  » Législatives 2023 au Bénin : Des élections libres, transparentes et apaisées, contribution de l’église », illustre bien pour montrer la détermination de la Conférence épiscopale à contribuer à faire préserver la paix à l’occasion des prochaines législatives. Pour l’archevêque de Cotonou Mgr Roger Houngbédji, cette action s’inscrit dans le cadre de la pastorale et des actions de l’Aumônerie pour la promotion de la démocratie au Bénin. C’est la part de contribution dit-il, de l’église pour préparer le Bénin à garder son unité, sa cohésion et son développement. Et en présence du Président de l’Assemblée nationale Louis Vlavonou, du Président de la Cour Constitutionnelle Joseph Djogbénou, du Chef de file de l’opposition Paul Hounkpè, du député UP Gérard Gbénonchi, de l’ancienne ministre Célestine Zannou, des Présidents de partis politiques tels que Moele-Bénin Jacques Ayadji, Expérience Tébé, Antoine Guédou, Éric Houndété et autres, les trois panels essentiels de la journée de réflexion ont été déclinés. Il s’agit du bilan des législatives à l’ère du renouveau démocratique, des rôles et responsabilités des parties politiques pour des législatives libres, transparentes et apaisées et enfin les rôles et responsabilités de la Cour constitutionnelle, de la Céna et de la Haac pour les législatives libres, transparentes et apaisées. II est demandé à chacun en l’occurrence les acteurs politiques, les institutions de la République impliquées de diverses manières dans l’organisation du scrutin, et tous les hommes et femmes de bonne volonté à mettre l’intérêt suprême de la nation au-dessus de tout, en prenant toutes les dispositions nécessaires pour garantir des élections libres, transparentes, réellement inclusives et apaisées. Convaincue qu’en agissant de la sorte qu’on épargnera le pays de toutes violences, l’Eglise catholique appelle à ce qui urge pour faire des législatives à venir des moments de fête.

Une forme d’assise pour faire baisser la tension…

Même si dans la droite ligne de ses prérogatives, le médiateur de la République a recueilli récemment les doléances des partis régulièrement enregistrés pour des législatives inclusives et apaisées en 2023, il reste que cette forme de discutions a été menée isolément avec chacune des formations politiques. Les acteurs de la mouvance comme de l’opposition politique n’ont donc pas eu l’occasion de se regarder en face pour dire chacun ce qui le fâche. Et l’initiative de la journée de réflexion tenue par la Conférence épiscopale présente l’avantage qu’elle réunit dans la même salle les acteurs de toutes les obédiences politiques et en même temps des Présidents d’institutions de la République. Pour plus d’un, cette rencontre a tout l’air d’un dialogue pour faire baisser la tension dans le pays surtout après les présidentielles de 2021 soldées par l’incarcération de personnalités de l’opposition. C’est donc selon des avis, une action salutaire à accompagner par les décideurs pour faire remettre pourquoi pas en liberté toutes les personnes emprisonnées dans le cadre de ladite présidentielle et ceci afin de lancer de bons signaux pour les joutes électorales de janvier. On remercie ainsi l’Eglise catholique pour les efforts fréquemment enregistrés de sa part au bénéfice de l’unité et de la cohésion nationale.

Dynamisme info : Edition du 23 Mai 2022

Choix d’une obédience pour son combat politique : David Koffi Aza révèle pourquoi il n’a pas fait l’option de l’opposition

Sur l’Emission « La Diagonale » de la Télévision numérique BNEWS, le prêtre du Fa désormais engagé dans la politique David Koffi Aza a fait savoir les raisons de son penchant pour la mouvance et le parti Moele-Bénin pour son nouveau combat. Et de ce qu’il a laissé entendre, il est à retenir que sa décision de faire chemin avec le pouvoir est bien soutenue par un idéal au profit des cultes endogènes. Dans ses explications, le Président du Conaceb fait observer que les acteurs actuels de l’opposition dans leur ensemble ont longtemps ignoré les cultes endogènes pour ne rien faire alors qu’ils en avaient la possibilité lorsqu’ils étaient aux affaires. Il déplore ce qu’il appelle la christianisation de la vie publique sous le régime précédent qui aurait fait de préjudices aux cultes endogènes. Et c’est ce qui ne le motive pas en tout cas à se référer à ses propos à aller vers cette obédience pour son combat politique. « On a vu l’opposition à l’œuvre pendant dix années sous Yayi Boni. Et cette période a été la plus christianisée. Il y a eu plus de christianisations au sommet de l’Etat au point où sur dix ministres de l’intérieur en dix ans, en dehors d’un ou de deux dont on ne maîtrise pas leur obédience, tous les autres sont des pasteurs. Rien que des pasteurs au niveau du poste de ministre de l’intérieur et cela nous a crée des dommages en son temps. Quand nous demandons de récépissé à caractère traditionnel, on ne peut l’avoir. La preuve en est que pour Tofa, depuis 2016 qu’on a fait la demande de reconnaissance, ce n’est qu’en 2012 qu’on a été satisfait », dit-il avant de rassurer qu’au niveau de la mouvance et précisément à Moele-Bénin, les décisions ne sont pas prises sur coup de tête et que le parti de Jacques Ayadji a une vision qui cadre avec celle des cultes endogènes.

Dynamisme info : Edition du 23 Mai 2022

Engagements à l’investiture de Patrice Talon il y a un an : Le Hautement social à l’épreuve !

Cela fait exactement un an jour pour jour ce 23 Mai 2022 que prêtait serment pour le second mandat, Patrice Talon. Occasion pour le Président réélu de prendre de nouveaux engagements avec le peuple en rapport surtout avec le social. Et douze mois après, même si l’on ne cesse de rassurer d’un lendemain meilleur pour faire desserrer les ceintures et soulager un tant soi peu les difficultés dans les ménages, il saute à l’œil que les promesses laissées n’ont pas commencé par être tenues en tout cas sur le volet social. Les populations continuent de consentir des sacrifices sans voir pour autant leurs conditions de vie s’améliorer. C’est pratiquement la galère dans le pays ; une situation aggravée par la cherté de la vie assimilée à une crise économique mondiale. Même les agents de l’Etat à qui il a été promis la revalorisation de leurs revenus attendent toujours d’être servis pour faire face aux réalités induites surtout par la flambée des prix des produits de grande consommation. Que dire des couches défavorisées qui peinent à joindre les deux bouts ? Même si des efforts sont faits et que la pandémie de Covid-19, la cherté de la vie et la guerre entre l’Ukraine et la Russie peuvent servir de prétexte pour justifier la situation en présence, il est à faire constater que si les choses ont bougé sur d’autres plans parlant des engagements pris, le hautement social n’a pas fonctionné. Certes, le bilan couvre cinq ans et les quatre années à venir peuvent aider à corriger ce qui urge pour faire tenir le principal engagement pris lors de l’investiture de Patrice Talon à Porto-Novo.

Dynamisme Info : Edition du 23 Mai 2023

Défaite des Ecureuils du Bénin en finale du tournoi l’UFOA B : Le rêve de tout un peuple brisé

Même s’ils ont donné à espérer du fait de leur engagement durant la compétition, les Ecureuils U-20 n’ont pas réussi à atteindre l’objectif final avec leur défaite face au Nigeria ce vendredi alors qu’ils présentaient au départ un jeu séduisant. Une histoire de pénalty contestable aura fait émousser quelque peu l’ardeur des poulains de Mathias Déguénon qui ont sérieusement été battus parce qu’entre-temps réduits à 10 suite à l’expulsion d’un des leurs. Et l’espoir porté sur eux par tout un peuple venait ainsi d’être brisé laissant la chance à l’équipe adverse de repartir avec le trophée. C’était tout simplement de la déception surtout pour les téléspectateurs qui ont dans leur ensemble regretté la partie.

Dynamisme info : Edition du 23 Mai 2022

Restitution de la tournée gouvernementale : Ces communes dans lesquelles les populations ont manqué de demander des comptes aux maires

Ayant pris le relais après la descente des ministres et députés, les maires vont vers leurs mandants pour restituer l’essentiel au sujet des explications données sur la cherté de la vie. mais dans au moins deux communes du Sud-Bénin dont les premiers responsables sont cités dans des malversations liées à la gestion des carrières de sable, les populations ont manqué l’occasion de demander de comptes à ceux qui agissent en leurs ,oms. il s’agit des communes d’Abomey-Calavi et de Ouidah dont les noms des maires sont cités par la presse comme auteurs d’actes de gestion peu orthodoxes dans le secteur. Les populations surtout le public à ces occasions même si les interventions sont filtrées devraient chercher à savoir à quoi retournent réellement ces dénonciations mises à leur charge et abondamment relayées dans la presse. Et cela pourrait suffire pour décourager en quelque sorte ces maires qui font comme si ce qui se dit est sans valeur.

Dynamisme info : Edition du 23 Mai 2022

Cherté de la vie, législatives de 2023, dépravation des mœurs : Les Evêques du Bénin proposent des pistes d’actions pour un peuple réellement épanoui

Fidèles à leur mission de conduire selon les prescriptions tracées le peuple de Dieu mais aussi à celle d’œuvrer pour la promotion et la consolidation de la paix et l’épanouissement de leurs concitoyens, les Evêques du Bénin au détour de leur 3ème session plénière ordinaire de l’année pastorale 2021-2022, se sont prononcés sur un certain nombre de sujets de l’actualité sociopolitique nationale. A l’occasion donc de ce conclave tenu les 17, 18 et 19 mai 2022 au Grand Séminaire Saint Gall de Ouidah, les premiers responsables de l’Eglise catholique au Bénin ont passé au peigne fin les questions d’ordre ecclésial, social et politique. Et des législatives de 2023 à la dépravation des mœurs manifestée surtout sur les réseaux sociaux en passant par la cherté de la vie et ses effets dans les ménages, rien n’a échappé à l’attention de la Conférence Episcopale du Bénin comme cela se laisse découvrir dans le communiqué final présenté ce jeudi par le Vice-président de la CEB, Monseigneur Eugène Cyrille Houndékon aux professionnels des médias. Dressé sur 8 points, le document ayant sanctionné les travaux de cette session aborde en ses axes 5, 6 et 7 les sujets plus haut mentionnés. D’abord au plan sociopolitique et bien entendu après avoir fait le point de quelques activités au bénéfice de l’affermissement de la foi des fidèles, la Conférence épiscopale du Bénin relève pour saluer relativement aux actes de terrorisme perpétrés ces derniers temps dans la partie septentrionale du pays, les efforts du Gouvernement pour assurer la sécurité et la défense de l’intégrité du territoire national tout en invitant à prier pour les victimes. Toujours sur ce chapitre et en rapport avec les élections de janvier 2023, les acteurs de la CEB dans une démarche anticipative et de veille citoyenne, rappellent l’essentiel à faire pour des consultations sans tensions sous les tropiques comme cela est bien mentionné. « Par ailleurs, à quelques mois des élections législatives, les Evêques du Bénin tirent la sonnette d’alarme et invitent d’ores et déjà les acteurs politiques, les institutions de la République impliquées de diverses manières dans l’organisation du scrutin, et tous les hommes et femmes de bonne volonté à mettre l’intérêt suprême de la nation au-dessus de tout, en prenant toutes les dispositions nécessaires pour garantir des élections libres, transparentes, réellement inclusives et apaisées », lit-on dans le communiqué signé du Président de la Conférence Episcopale du Bénin, Monseigneur Victor Agbanou. Parlant de la cherté de la vie, les Evêques se disent compatissants vis-à-vis du peuple béninois et tout particulièrement des couches les plus défavorisées qui manquent du strict minimum pour subvenir à leurs besoins. Ils invitent les autorités politico-administratives qu’ils remercient d’ailleurs pour ce qui se fait déjà, à accélérer la mise en application des décisions prises et au besoin leur renforcement par d’autres dispositions complémentaires pour faire inverser la donne. Par ailleurs, conscients de leur rôle pour une société davantage façonnée par l’Evangile et ancrée sur les valeurs morales, les Pasteurs de l’Eglise n’ont pas passé sous silence au cours de leurs travaux et de leurs échanges, les récurrents faits d’atteinte aux bonnes mœurs et à la dignité humaine tout en conviant chaque acteur de la chaine sociétale à son devoir et selon sa position comme l’indique le point 7 de la synthèse des travaux : « Les Evêques du Bénin déplorent la déliquescence des mœurs qui s’observe de plus en plus au sein de la couche juvénile. Elle se traduit par les pratiques d’arnaque, la banalisation du sexe sur les réseaux sociaux et pire encore les actes immoraux et inimaginables qui se commettent au mépris de la dignité humaine et motivés par l’appât du gain facile. A cet effet, ils invitent les autorités politico-administratives, les responsables religieux, les éducateurs à divers niveaux, et surtout les parents, à prendre leur pleine responsabilité, et à œuvrer, chacun selon son charisme et sa mission spécifique. Ils appellent de tous leurs vœux des mesures urgentes pour sauver cette frange de la jeunesse de la perdition. Ils rappellent aux jeunes qu’ils sont la relève de demain, l’espoir et l’avenir de la nation. Ils les encouragent surtout à développer, faces aux circonstances actuelles, l’esprit de créativité et d’entreprenariat, car seul le travail est libérateur et gage d’un avenir meilleur », fait-on savoir. Il est à noter que dans la ferveur de la solennité de la Pentecôte à célébrer dans les jours à venir, les premiers responsables des diocèses et archidiocèses du Bénin ont saisi l’occasion de cette session pour implorer l’effusion de l’Esprit Saint sur le peuple de Dieu et sur toute la nation béninoise.

Dynamisme info : Edition du 23 Mai 2022

Refus de critiquer pour critiquer son ancien mentor : La preuve que Mitokpè a tiré beaucoup de Azannaï en termes de sagesse

Ceux qui voudront voir l’ancien Secrétaire général de Restaurer l’Espoir critiquer pour jeter de pierres à son ancien mentor Candide Azannaï se trompent d’objectifs et devront se raviser. En tout cas, l’ancien député n’est pas prêt à jeter rien que pour la forme et peut-être pour les beaux yeux de ses admirateurs, de discrédits sur celui qui l’aura politiquement édifié. Et invité à faire savoir les réels mobiles de son départ du parti Restaurer l’Espoir, l’ancien parlementaire dans une posture de sagesse, s’est refusé de porter toute critique contre Candide Azannaï qu’il a pourtant quitté. Une attitude qui vient témoigner des nombreuses expériences acquises auprès du Numéro 1 de Restaurer l’Espoir qui quand bien même n’ayant pas sa langue dans la poche, se réserve d’aller à des extrémités. Cette posture de Guy Mitokpè est d’ailleurs à saluer pour inviter d’autres dans de pareils cas à faire comme lui en évitant de cracher dans l’assiette dans laquelle ils ont mangé. C’est un exemple à suivre pour l’éthique dans la sphère politique.

Dynamisme info : Edition du 23 Mai 2022